"Comme si, par une froide nuit de plein mois d’aout, la fumée de la terre voulait nous prendre à la gorge, à l’apogée d’une déambulation sans but, attiré par les volutes d’une impossible forge, tu erres dans les rues sombres, comme un papillon captivé par la lumière... pourquoi vouloir fuir l’inéluctable, tu le sens, oh oui, c’est palpable, ya comme de l’électricité dans l’air Alors approche, encore, approche, Il te regarde... Viens, prends moi la main, je t’emmène...
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