En Tanzanie, la législation interdit les mutilations génitales féminines (MGF). Pourtant, selon une tradition séculaire, des parents continuent à faire « couper » leurs filles, ce qui les rend « meilleures à marier ». En 2012, dans le district de Serengeti, la charismatique Rhobi Samwelli a créé la Safe House, où de jeunes adolescentes, soumises au risque de mutilation génitale féminine (MGF) et de mariage forcé, viennent trouver refuge. Elles y resteront, seront scolarisées...
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