En 2017, année des mouvements #MeToo et Cierny piontek (« vendredi noir », en Pologne), Zuzana Kakalikova débute une réflexion sur son image, sa place, son rapport à l’espace et au lieu, en tant que femme. Elle se replonge dans l’œuvre de Francesca Woodman (1958-1981), artiste étasunienne émancipée, connue pour ses photographies troublantes, ambivalentes et atemporelles où elle se met souvent en scène. Kakalikova transpose la démarche de Woodman dans un langage...
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