Marcher sur la douleur en forme de bouts de verre. Se consoler d’objets aussi fragiles que nous. Les mots comme des images illustrent le frêle équilibre entre l’humain et les choses mis en scène par Maroussia Diaz Verbèke dans ses 23 fragments de ces derniers jours. Avec les artistes du collectif brésilien Instrumento de Ver (littéralement « appareil pour voir »), la metteure en scène et circographe* rassemble des objets comme elle réunirait une équipe de jeu, des...
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