D’abord il y a le trait. Celui du calame trempé dans l’encre. Des corps dénudés apparaissent, réminiscence du dessin de figure qu’Axel Ernst a pratiqué et enseigné toute sa vie. S’y ajoutent des autoportraits de grands peintres, en particulier Rembrandt et Dürer, réinterprétés par l’artiste genevois. Quelques-uns de ses propres autoportraits se glissent malicieusement parmi eux.
Et...
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