« Au fond… qu’est-ce qui ressemble plus à un cimetière qu’un grand bal ?… Ce ne sont pas les vivants qui dansent, mon cher, ce sont les morts qui sont en nous. »
Dans Bois-Mort (1934), Le Cavalier de paille (1936), Le Martin-Pêcheur (1953) et L’Arrosoir rouge (1955), Monique Saint-Hélier multiplie les points de vue et les perspectives pour construire progressivement une chronique familiale inspirée des années et des lieux de sa jeunesse chaux-de-fonnière.
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