«En entrelaçant jazz, musiques africaines et contemporaines ce pianiste français invente un monde sonore fascinant. Grand lecteur de Deleuze, il ne parle que de flux, de réseaux et de nomadisme. Sa musique aussi. Pas assez « jazzy » pour les uns, trop expérimental pour les autres, Benoît Delbecq désarçonne. C’est dommage, il est ce qui est arrivé de mieux à cette musique en France depuis des lustres. (...) Mais qu’on ne s’y trompe pas, tout ça reste du jazz....
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