Surfaces fragmentées ou chaos végétal, les œuvres de ces deux artistes prennent appui sur le paysage pour développer un discours pictural autour de la couleur, de la composition, des vides et des pleins, de l’abstraction, et osant parfois des échappées tridimensionnelles. La rigueur de la démarche les caractérise tous les deux, mais assume chez Alexandra Häberli un rendu graphique d’aplats de couleur en superpositions et transparences, tandis que Michael Rampa centre...
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