1994, La peau impose No One Is Innocent comme la référence du rock enragé sur l’hexagone. Cinq albums plus tard, Propaganda signe un retour aux sources sonores, gonflé à bloc par le besoin de hurler et d’en découdre avec la morosité ambiante. Un torrent de rythmiques cinglantes, de grooves électriques et d’hymnes rock implacables, font de ce nouveau disque un défouloir punk qui griffe les points sensibles de notre société.
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