Quand Alain Platel vient à Genève, on est assuré d’en prendre plein la vue : subjugué par sa danse virtuose, admiratif de ses décors où la sobriété rivalise avec la beauté, baba devant la justesse et la sincérité de ses interprètes.
Aujourd’hui, le grand chorégraphe nous offre un shoot de virilité et s’inspire des années vertigineuses du début du XXe siècle ; une période où le génie du compositeur Gustav...
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