L’UCCELLO DALLE PIUME DI CRISTALLO - DARIO ARGENTO
Spoutnik
- 11, rue de la Coulouvrenière (Jonction) - Genève
-
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- www.spoutnik.info
(ITALIE/ALLEMAGNE, 1970, 98', COUL., VIDÉO, VOSTFR.)
Sam Dalmas, écrivain américain, vit à Rome avec sa compagne Julia. En manque d’inspiration, il décide de retourner aux Etats-Unis. La veille de son départ, il est le témoin impuissant d’un meurtre dans une galerie d’art. Intercepté par la police sur les lieux du crime, Dalmas voit son passeport confisqué et devient l’un des premiers suspects de l’enquête policière. Il apprend alors que la victime a survécu et décide de mener l’enquête avec l’aide de Julia.
L’Uccello dalle piume di cristallo est un chef-d’oeuvre du cinéma d’horreur sur fond d’intrigue policière. Servi par une bande-son d’Ennio Morricone, ce film, devenu un classique, reçoit un succès international à sa sortie et donne au giallo ses lettres de noblesse.
CYCLE ARGENTO : IMAGINAIRE DE L’ANGOISSE
Erotisme macabre, atmosphères perverses et fétichistes, ce mois d’octobre, le Spoutnik vous propose d’entrer dans l’univers du maître italien Dario Argento, en redécouvrant trois de ses plus grands classiques aux univers délirants et angoissants.
Entre les années 60 et 80, Argento a donné au style giallo une reconnaissance internationale et a élevé celui-ci du cinéma d’horreur au cinéma d’auteur. Le travail sur les ambiances avec l’usage souvent excessif de couleurs criardes, qui rappellent les productions des studios Hammer auxquels la naissance du giallo est le pendant italien, créent des atmosphères qui tirent vers le fantastique, parfois même vers le psychédélisme. Mêlant intrigues policières, références au cinéma d’horreur gothique des années 60 et à des films tels que Psychose d’Alfred Hitchcock ou Peeping Tom de Michael Powell, ces films dépassent l’étiquette qui leur est souvent associée, celle d’un cinéma de genre, et se construisent, pour certains, sur des récits touchant à des problématiques sociétales, à l’inconscient, voire à la métaphysique. Rejouant avec un plaisir pervers l’éternelle spirale infernale à l’intérieur de laquelle le ou la protagoniste principal·e se retrouve enfermé·e après avoir été témoin d’un meurtre et doit mener l’enquête à sa façon, ces films jouent sur la subjectivité du public, lui faisant plusieurs fois se perdre dans ses réflexions quant à l’identité du meurtrier.
Sam Dalmas, écrivain américain, vit à Rome avec sa compagne Julia. En manque d’inspiration, il décide de retourner aux Etats-Unis. La veille de son départ, il est le témoin impuissant d’un meurtre dans une galerie d’art. Intercepté par la police sur les lieux du crime, Dalmas voit son passeport confisqué et devient l’un des premiers suspects de l’enquête policière. Il apprend alors que la victime a survécu et décide de mener l’enquête avec l’aide de Julia.
L’Uccello dalle piume di cristallo est un chef-d’oeuvre du cinéma d’horreur sur fond d’intrigue policière. Servi par une bande-son d’Ennio Morricone, ce film, devenu un classique, reçoit un succès international à sa sortie et donne au giallo ses lettres de noblesse.
CYCLE ARGENTO : IMAGINAIRE DE L’ANGOISSE
Erotisme macabre, atmosphères perverses et fétichistes, ce mois d’octobre, le Spoutnik vous propose d’entrer dans l’univers du maître italien Dario Argento, en redécouvrant trois de ses plus grands classiques aux univers délirants et angoissants.
Entre les années 60 et 80, Argento a donné au style giallo une reconnaissance internationale et a élevé celui-ci du cinéma d’horreur au cinéma d’auteur. Le travail sur les ambiances avec l’usage souvent excessif de couleurs criardes, qui rappellent les productions des studios Hammer auxquels la naissance du giallo est le pendant italien, créent des atmosphères qui tirent vers le fantastique, parfois même vers le psychédélisme. Mêlant intrigues policières, références au cinéma d’horreur gothique des années 60 et à des films tels que Psychose d’Alfred Hitchcock ou Peeping Tom de Michael Powell, ces films dépassent l’étiquette qui leur est souvent associée, celle d’un cinéma de genre, et se construisent, pour certains, sur des récits touchant à des problématiques sociétales, à l’inconscient, voire à la métaphysique. Rejouant avec un plaisir pervers l’éternelle spirale infernale à l’intérieur de laquelle le ou la protagoniste principal·e se retrouve enfermé·e après avoir été témoin d’un meurtre et doit mener l’enquête à sa façon, ces films jouent sur la subjectivité du public, lui faisant plusieurs fois se perdre dans ses réflexions quant à l’identité du meurtrier.
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20:30 |
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| normal 12.- / réduit 8.- / membre 7.- / enfant 5.- / 20ans20francs 5.- | |
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par Cinéma Spoutnik le 3 octobre 2015