Les Printemps du cinéma tchèque - Rencontre avec Ivan Passer et Petr Vaclav
Cinémas du Grütli
- Maison des arts du Grütli - 16 rue du Général-Dufour - Plainpalais - Genève
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- www.cinemas-du-grutli.ch
Mercredi 18 mars
16h00 L'OREILLE (Karel Kachyna. 1970)
Bien éméchés, un vice-ministre du régime communiste et sa femme rentrent chez eux après une grande réception officielle, au cours de laquelle ils apprennent la déchéance de son ministre de tutelle. La porte de leur maison est ouverte, il n’y a plus d’électricité chez eux et des ombres errent autour de l’habitation.
18h00 LA PLAISANTERIE (Jaromil Jires, 1968)
En 1949, Ludvik jeune étudiant tchèque en vacances, écrit «Vive Trotsky!» sur une carte postale qu’il envoie à sa petite amie. Celle-ci, communiste de stricte obédience, n’apprécie pas la blague. Ses camarades du comité universitaire non plus.. et à son retour, Ludivk est expédié en camp de travail. Vingt ans plus tard, Ludivk retrouve ses anciens «camarades». Une folle envie de se venger le démange…
20h00 ECLAIRAGE INTIME (Ivan Passer, 1965)
L'histoire d'un jeune musicien et de sa petite amie qui s'installent pour quelques jours chez un autre ami, musicien egalement, qui lui vit en famille. Film culte de la nouvelle vague tchèque.
Dans le cadre des Printemps du Cinéma tchèque
Dans les années 1960 en Tchécoslovaquie, portés par un désir accru de liberté, des cinéastes inventent un nouveau cinéma, révolté par la censure et le totalitarisme stalinien, annonçant ainsi le Printemps de Prague, courte période de libéralisation politique en 1968.
Ivan Passer, illustre figure de cette nouvelle Vague, est présent aux Cinémas du Grütli pendant quatre jours, du 18 au 22 mars, en compagnie de Petr Vaclav, représentant quant à lui de la nouvelle génération du cinéma tchèque. La rencontre entre ces cinéastes donne l'occasion d'un dialogue entre deux générations de cinéma, chacune animées par une démarche résolument critique et subversive.
16h00 L'OREILLE (Karel Kachyna. 1970)
Bien éméchés, un vice-ministre du régime communiste et sa femme rentrent chez eux après une grande réception officielle, au cours de laquelle ils apprennent la déchéance de son ministre de tutelle. La porte de leur maison est ouverte, il n’y a plus d’électricité chez eux et des ombres errent autour de l’habitation.
18h00 LA PLAISANTERIE (Jaromil Jires, 1968)
En 1949, Ludvik jeune étudiant tchèque en vacances, écrit «Vive Trotsky!» sur une carte postale qu’il envoie à sa petite amie. Celle-ci, communiste de stricte obédience, n’apprécie pas la blague. Ses camarades du comité universitaire non plus.. et à son retour, Ludivk est expédié en camp de travail. Vingt ans plus tard, Ludivk retrouve ses anciens «camarades». Une folle envie de se venger le démange…
20h00 ECLAIRAGE INTIME (Ivan Passer, 1965)
L'histoire d'un jeune musicien et de sa petite amie qui s'installent pour quelques jours chez un autre ami, musicien egalement, qui lui vit en famille. Film culte de la nouvelle vague tchèque.
Dans le cadre des Printemps du Cinéma tchèque
Dans les années 1960 en Tchécoslovaquie, portés par un désir accru de liberté, des cinéastes inventent un nouveau cinéma, révolté par la censure et le totalitarisme stalinien, annonçant ainsi le Printemps de Prague, courte période de libéralisation politique en 1968.
Ivan Passer, illustre figure de cette nouvelle Vague, est présent aux Cinémas du Grütli pendant quatre jours, du 18 au 22 mars, en compagnie de Petr Vaclav, représentant quant à lui de la nouvelle génération du cinéma tchèque. La rencontre entre ces cinéastes donne l'occasion d'un dialogue entre deux générations de cinéma, chacune animées par une démarche résolument critique et subversive.
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18:00 – 20:30 |
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| 14 francs/séance | |
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par Cinémas du Grütli le 17 mars 2015