...Constellation Kurtág...
Studio Ansermet - RSR
- passage Marie-Claude-LEBURGE (anciennement de la Radio) 2 - Plainpalais - Genève
-
Voir sur le plan
- https://www.rsr.ch
György Kurtág, Jatekok (extraits) pour piano (1973-2010) / Jatekok pour ensemble, arrangement d’Olivier Cuendet (2015)
Karlheinz Stockhausen, Telemusik pour électronique (1966)
György Kurtág, …concertante…, nouvelle version pour violon, alto et ensemble par Olivier Cuendet (2003-2006 / 2014)
Élèves de la classe de piano de Meglena Tzaneva / Antoine Françoise, Stefan Wirth, piano / Hiromi Kikuchi, violon / Ken Hakii, alto / Ensemble Contrechamps / Michael Wendeberg, direction / David Poissonnier, ingénieur du son
La musique de György Kurtág fascine par l’étendue des sentiments qu’elle sollicite, du point de vue des interprètes comme de celui de l’auditeur. Maître de la litote et du sous-entendu, promoteur de l’hommage comme forme musicale adaptée à son langage, Kurtág attend bien longtemps avant d’écrire pour l’orchestre symphonique. L’oeuvre …concertante… requérant à l’origine un gigantesque orchestre, sera donnée en première audition dans sa version de chambre due à Olivier Cuendet, qui a également transcrit et interprété plusieurs Jatekok («jeux» en hongrois) - oeuvres magnifiques pour piano conçues pour de jeunes ou très jeunes pianistes, dans le prolongement du souci de Béla Bartók pour la jeune génération de musiciens. C’est tout logiquement que l’on entendra Telemusik à la suite de l’Hommage de Kurtág à Stockhausen. Le maître de Cologne y déploie un portrait sonore du Japon, là où la bande magnétique de la pièce fut produite en 1966.
Karlheinz Stockhausen, Telemusik pour électronique (1966)
György Kurtág, …concertante…, nouvelle version pour violon, alto et ensemble par Olivier Cuendet (2003-2006 / 2014)
Élèves de la classe de piano de Meglena Tzaneva / Antoine Françoise, Stefan Wirth, piano / Hiromi Kikuchi, violon / Ken Hakii, alto / Ensemble Contrechamps / Michael Wendeberg, direction / David Poissonnier, ingénieur du son
La musique de György Kurtág fascine par l’étendue des sentiments qu’elle sollicite, du point de vue des interprètes comme de celui de l’auditeur. Maître de la litote et du sous-entendu, promoteur de l’hommage comme forme musicale adaptée à son langage, Kurtág attend bien longtemps avant d’écrire pour l’orchestre symphonique. L’oeuvre …concertante… requérant à l’origine un gigantesque orchestre, sera donnée en première audition dans sa version de chambre due à Olivier Cuendet, qui a également transcrit et interprété plusieurs Jatekok («jeux» en hongrois) - oeuvres magnifiques pour piano conçues pour de jeunes ou très jeunes pianistes, dans le prolongement du souci de Béla Bartók pour la jeune génération de musiciens. C’est tout logiquement que l’on entendra Telemusik à la suite de l’Hommage de Kurtág à Stockhausen. Le maître de Cologne y déploie un portrait sonore du Japon, là où la bande magnétique de la pièce fut produite en 1966.
|
20:00 – 22:00 Conférence « La singularité Kurtág » à 18h par Philippe Albèra |
|
| 28 fr. / 18 fr. / 5 fr. | |
| http://www.contrechamps.ch/commande-billet.php |
Signaler une erreur
Ajouté
par contrechamps le 7 juillet 2014