LE TEMPS DES SIRÈNES dans le cadre de MIGRATIONS
Galpon
- 2, route des Péniches (Jonction) - Genève
-
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- www.galpon.ch
LE TEMPS DES SIRÈNES
DU JEUDI 18 AVRIL AU DIMANCHE 28 AVRIL
Du mardi au samedi À 20H, DIMANCHE À 18H
Théâtre I Compagnie Apsara
Un huis clos tragicomique sur l’immigration de deux femmes artistes de cabaret
Une commande d’écriture à l’auteur genevois Olivier Chiacchiari
Durée : 60-75 minutes
Affronter la réalité
Reconsidérer ses aspirations et déjouer les pièges
Minuit. Deux soeurs, la cinquantaine, débarquent avec leur malle dans un hôtel sordide. La déception est de taille, et pour cause ! Victoria et Gloria, originaires des Caraïbes, ont tout quitté pour tenter leur chance en Europe. D’emblée, le rêve se révèle beaucoup moins féerique qu’espéré.
Passionnées de danse et de chanson, elles forment un duo flamboyant – un tantinet désuet – Les Sirènes des Caraïbes. Victoria, l’aînée, a fait miroiter à Gloria un contrat dans un club prestigieux qui s’avère être une chimère.
Gloria est furieuse. Dans quelle galère sa soeur l’a-t-elle embarquée ? Les comptes se règlent dans ce taudis qui fait office de sas de décompression.
Entre les deux femmes, c’est l’attraction-répulsion perpétuelle, un amour sororal où les chantages affectifs sont légion. Prises dans les mailles de leur propre filet, elles ressassent les vieilles rancunes sans assumer ni leurs responsabilités, ni le temps qui passe. Elles se projettent dans un monde qui n’existe pas.
Les voilà contraintes d’affronter la réalité, de se remettre en question et reconsidérer leurs aspirations. Parviendront-elles à assumer leur âge, à accepter leur condition et tirer leur épingle du jeu ?
Un spectacle tout en finesse, rythmé par leur tour de chant qui nous plonge dans l’univers haut en couleur de la vie d’artiste. Un huis clos tragicomique qui expose un quotidien difficile : l’angoisse perpétuelle de déjouer les pièges de l’immigration féminine, un univers où le contrat « d’artiste de cabaret » – porte ouverte à la prostitution – n’est jamais loin. Car nul n’émigre en toute impunité. Surtout lorsque l’on est une femme.
Direction artistique I Silvia Barreiros
Texte I Olivier Chiacchiari
Mise en scène I Carlos Díaz
Direction musicale I Ondina Duany
Chorégraphies I Jesus Gonzalez
Jeu I Silvia Barreiros, Margarita Sanchez
Musiciens I Daniela Abrar, Delmis Aguilera
Costumes I Maria Galvez
Scénographie I Michel Faure
Lumières I Danielle Milovic
Maquillages I Arnaud Buchs
Photographie I Esther Fayant
Affiche I Ester Paredes
Construction I Ateliers du Lignon
Communication I Illyria Communication
Administration I Lise Zogmal
Une production de la Compagnie Apsara, Genève
www.apsaras.ch I apsaraapsara@yahoo.fr
''Soutiens : Ville de Genève (Département de la Culture et du Sport), Loterie Romande, SSA (Société Suisse des Auteurs), Ernst Göhner Stiftung, Fonds d’encouragement à l’Emploi des Intermittents genevois,Fondation Emilie Gourd, Office fédéral des migrations (ODM)''
DU JEUDI 18 AVRIL AU DIMANCHE 28 AVRIL
Du mardi au samedi À 20H, DIMANCHE À 18H
Théâtre I Compagnie Apsara
Un huis clos tragicomique sur l’immigration de deux femmes artistes de cabaret
Une commande d’écriture à l’auteur genevois Olivier Chiacchiari
Durée : 60-75 minutes
Affronter la réalité
Reconsidérer ses aspirations et déjouer les pièges
Minuit. Deux soeurs, la cinquantaine, débarquent avec leur malle dans un hôtel sordide. La déception est de taille, et pour cause ! Victoria et Gloria, originaires des Caraïbes, ont tout quitté pour tenter leur chance en Europe. D’emblée, le rêve se révèle beaucoup moins féerique qu’espéré.
Passionnées de danse et de chanson, elles forment un duo flamboyant – un tantinet désuet – Les Sirènes des Caraïbes. Victoria, l’aînée, a fait miroiter à Gloria un contrat dans un club prestigieux qui s’avère être une chimère.
Gloria est furieuse. Dans quelle galère sa soeur l’a-t-elle embarquée ? Les comptes se règlent dans ce taudis qui fait office de sas de décompression.
Entre les deux femmes, c’est l’attraction-répulsion perpétuelle, un amour sororal où les chantages affectifs sont légion. Prises dans les mailles de leur propre filet, elles ressassent les vieilles rancunes sans assumer ni leurs responsabilités, ni le temps qui passe. Elles se projettent dans un monde qui n’existe pas.
Les voilà contraintes d’affronter la réalité, de se remettre en question et reconsidérer leurs aspirations. Parviendront-elles à assumer leur âge, à accepter leur condition et tirer leur épingle du jeu ?
Un spectacle tout en finesse, rythmé par leur tour de chant qui nous plonge dans l’univers haut en couleur de la vie d’artiste. Un huis clos tragicomique qui expose un quotidien difficile : l’angoisse perpétuelle de déjouer les pièges de l’immigration féminine, un univers où le contrat « d’artiste de cabaret » – porte ouverte à la prostitution – n’est jamais loin. Car nul n’émigre en toute impunité. Surtout lorsque l’on est une femme.
Direction artistique I Silvia Barreiros
Texte I Olivier Chiacchiari
Mise en scène I Carlos Díaz
Direction musicale I Ondina Duany
Chorégraphies I Jesus Gonzalez
Jeu I Silvia Barreiros, Margarita Sanchez
Musiciens I Daniela Abrar, Delmis Aguilera
Costumes I Maria Galvez
Scénographie I Michel Faure
Lumières I Danielle Milovic
Maquillages I Arnaud Buchs
Photographie I Esther Fayant
Affiche I Ester Paredes
Construction I Ateliers du Lignon
Communication I Illyria Communication
Administration I Lise Zogmal
Une production de la Compagnie Apsara, Genève
www.apsaras.ch I apsaraapsara@yahoo.fr
''Soutiens : Ville de Genève (Département de la Culture et du Sport), Loterie Romande, SSA (Société Suisse des Auteurs), Ernst Göhner Stiftung, Fonds d’encouragement à l’Emploi des Intermittents genevois,Fondation Emilie Gourd, Office fédéral des migrations (ODM)''
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20:00 |
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| PT 22F | TR 15F et 10F | 20 ans/20francs 10FF | |
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Ajouté
par galpon le 4 avril 2013