BAR de Spiro Scimone
Théâtre T50
- 10, ruelle du Couchant (Centre) - Genève
-
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Avec Antony Mettler et Christian Gregori
Mise en scène de Christian Gregori
Assisté de Maria Mettral
Création Lumières & scénographie : Gianni Ceriani
« Bar » parcourt quatre jours cruciaux de la vie de Nino et Petru.
Nino fait des cafés dans un bar minable et Petru est au chômage. L’un vit avec sa mère et rêve de faire des cocktails, l’autre a vendu les bijoux de sa femme contre la promesse d’un boulot louche et n’ose plus rentrer chez lui. La petite mafia locale n’est pas loin de l’arrière salle de ce bar où les deux hommes, pour sortir de leur médiocrité, organisent une partie de cartes qu’ils s’imaginent pouvoir gagner en … trichant. Le fiasco total.
Mais voilà que Gianni (le caïd) est assassiné. Deux hommes en civil mènent l’enquête (police ou mafia ?… mystère) et nos deux personnages s’imaginent qu’ils ne peuvent qu’être les coupables idéaux.
L’univers de ce huis-clos est celui du petit, du captif, du laissé pour compte, vivant au jour le jour d’expédiant et s’alimentant d’illusion.
Révélant ainsi des morceaux d’humanité.
''Scimone fait partie de la catégorie des écrivains observateurs, ceux qui regardent le monde, leur époque, pour essayer de l’appréhender. De ce point de vue, son théâtre tire une force politique. Scimone excelle dans la représentation des petites gens, confrontées à leurs petits destins, dans d’anodins petits lieux et dont les turpitudes, cependant, nous incitent à nous interroger sur le sens global de la marche du monde et de notre société. La puissante singularité de sa langue lui valut d’être rapproché par la critique italienne de Pinter, Beckett ou Fassbinder.
Récompensé par plusieurs prix, dont celui des auteurs nouveaux et celui de la dramaturgie (hautes distinctions italiennes), Spiro Scimone est acclamé avec une de ses pièces phare « Il Cortile ». En 2007, Paris accueille le transalpin en reprenant « Nunzio », premier succès du talentueux auteur.
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Mise en scène de Christian Gregori
Assisté de Maria Mettral
Création Lumières & scénographie : Gianni Ceriani
« Bar » parcourt quatre jours cruciaux de la vie de Nino et Petru.
Nino fait des cafés dans un bar minable et Petru est au chômage. L’un vit avec sa mère et rêve de faire des cocktails, l’autre a vendu les bijoux de sa femme contre la promesse d’un boulot louche et n’ose plus rentrer chez lui. La petite mafia locale n’est pas loin de l’arrière salle de ce bar où les deux hommes, pour sortir de leur médiocrité, organisent une partie de cartes qu’ils s’imaginent pouvoir gagner en … trichant. Le fiasco total.
Mais voilà que Gianni (le caïd) est assassiné. Deux hommes en civil mènent l’enquête (police ou mafia ?… mystère) et nos deux personnages s’imaginent qu’ils ne peuvent qu’être les coupables idéaux.
L’univers de ce huis-clos est celui du petit, du captif, du laissé pour compte, vivant au jour le jour d’expédiant et s’alimentant d’illusion.
Révélant ainsi des morceaux d’humanité.
''Scimone fait partie de la catégorie des écrivains observateurs, ceux qui regardent le monde, leur époque, pour essayer de l’appréhender. De ce point de vue, son théâtre tire une force politique. Scimone excelle dans la représentation des petites gens, confrontées à leurs petits destins, dans d’anodins petits lieux et dont les turpitudes, cependant, nous incitent à nous interroger sur le sens global de la marche du monde et de notre société. La puissante singularité de sa langue lui valut d’être rapproché par la critique italienne de Pinter, Beckett ou Fassbinder.
Récompensé par plusieurs prix, dont celui des auteurs nouveaux et celui de la dramaturgie (hautes distinctions italiennes), Spiro Scimone est acclamé avec une de ses pièces phare « Il Cortile ». En 2007, Paris accueille le transalpin en reprenant « Nunzio », premier succès du talentueux auteur.
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20:30 – 21:30 |
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| de 18.- à 25.- | |
| 022 735 32 31 |
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Ajouté
par lolprod le 11 février 2013