CHINA, CHINA & MANHÃ DE SANTO ANTÓNIO
Spoutnik
- 11, rue de la Coulouvrenière (Jonction) - Genève
-
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- www.spoutnik.info
'''CHINA, CHINA'''
China descend les escaliers de Lisbonne à la rencontre de Martim Moniz. Sur son passage, des enfants crient : "China, China !". China va s'envoler. S'envoler avant l'aube. Elle veut plus que tout être heureuse. Mais elle boit son propre poison. Elle le boit jusqu'à la dernière goutte. Parfois l'air qui semble lourd de maléfices et de souffrances n'est qu'une cour de récréation.
'''MANHÃ DE SANTO ANTÓNIO '''
Une peinture abstraite qui pourrait s'appeler "''nature morte après beuverie''", Clarisse Fabre, Le Monde.
Selon la tradition, le 13 juin, jour de la Saint-Antoine, les amoureux doivent offrir des pots de basilic ornés d'oeillets et de banderoles en papier avec des quatrains, comme preuve de leur amour.
La nuit qui précède cette fête populaire est une grande foire alcoolisée...
C'est en sortant du métro ce matin-là que Rodrigues a immortalisé avec son portable les noctambules déambulant dans son quartier. De là est parti ce projet de court-métrage co-produit par le Fresnoy. Le résultat est une chorégraphie minimale de corps mis à rude épreuve par la nuit qui renaissent dans une aube irréelle.
China descend les escaliers de Lisbonne à la rencontre de Martim Moniz. Sur son passage, des enfants crient : "China, China !". China va s'envoler. S'envoler avant l'aube. Elle veut plus que tout être heureuse. Mais elle boit son propre poison. Elle le boit jusqu'à la dernière goutte. Parfois l'air qui semble lourd de maléfices et de souffrances n'est qu'une cour de récréation.
'''MANHÃ DE SANTO ANTÓNIO '''
Une peinture abstraite qui pourrait s'appeler "''nature morte après beuverie''", Clarisse Fabre, Le Monde.
Selon la tradition, le 13 juin, jour de la Saint-Antoine, les amoureux doivent offrir des pots de basilic ornés d'oeillets et de banderoles en papier avec des quatrains, comme preuve de leur amour.
La nuit qui précède cette fête populaire est une grande foire alcoolisée...
C'est en sortant du métro ce matin-là que Rodrigues a immortalisé avec son portable les noctambules déambulant dans son quartier. De là est parti ce projet de court-métrage co-produit par le Fresnoy. Le résultat est une chorégraphie minimale de corps mis à rude épreuve par la nuit qui renaissent dans une aube irréelle.
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20:00 – 20:45 |
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| 12.- / 8.- (AVS, AI, éudiants) / 7.- adhérents / 5.- (carte 20 ans20 francs) | |
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par Cinéma Spoutnik le 23 janvier 2013