DAF Festival - day 3
CENC
- 45, rue de st Jean (Saint-Jean) - Genève
Live son expérience
Une musique envahit l'espace, on écoute, réfléchit. Des guides viennent manipuler le corps des invités et les transportent dans une écoute sonore inhabituelle, profonde et relaxante. Immersion.
OGWO/MALENA SARDI - POST ROCK
One Guitare Woman Orchestra : des idées mélodiques simples qui deviennent une boucle hypnotique à tendance noise. Les structures harmoniques ne comptent pas malgré les empreintes musicales reconnaissables dans ses différents styles et études. Il n'est pas question de jazz, ni de rock.
Ses compositions s'inspirent de son activité de composition pour le théâtre, la performance et la danse. L'espace sonore est d'une grande importance pour elle et le nerf sensoriel de celui-ci se connecte à chacun de ses morceaux.
www.myspace.com
POSTCOÏTUM - INDIE/TRONICA
Postcoïtum ne simule pas la langueur, l’apathie. Leur esthétique se fonde sur une mise en tension entre d’une part un imaginaire électronique et une batterie qui rabat l’ensemble sur l’ici et maintenant de l’exécution. Se découvrant un point d’équilibre, l’ensemble se dépasse dans une résonnance globale, un ostinato à la texture tellurique qui affirme une glaciale emphase.
daath.bandcamp.com
Une musique envahit l'espace, on écoute, réfléchit. Des guides viennent manipuler le corps des invités et les transportent dans une écoute sonore inhabituelle, profonde et relaxante. Immersion.
OGWO/MALENA SARDI - POST ROCK
One Guitare Woman Orchestra : des idées mélodiques simples qui deviennent une boucle hypnotique à tendance noise. Les structures harmoniques ne comptent pas malgré les empreintes musicales reconnaissables dans ses différents styles et études. Il n'est pas question de jazz, ni de rock.
Ses compositions s'inspirent de son activité de composition pour le théâtre, la performance et la danse. L'espace sonore est d'une grande importance pour elle et le nerf sensoriel de celui-ci se connecte à chacun de ses morceaux.
www.myspace.com
POSTCOÏTUM - INDIE/TRONICA
Postcoïtum ne simule pas la langueur, l’apathie. Leur esthétique se fonde sur une mise en tension entre d’une part un imaginaire électronique et une batterie qui rabat l’ensemble sur l’ici et maintenant de l’exécution. Se découvrant un point d’équilibre, l’ensemble se dépasse dans une résonnance globale, un ostinato à la texture tellurique qui affirme une glaciale emphase.
daath.bandcamp.com
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18:00 – 22:00 |
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par tarrabass le 21 janvier 2013