MONSTRE FESTIVAL – MARTES BATHORI
LABO
- 5, boulevard St-Georges (Jonction) - Genève
-
Voir sur le plan
- www.espacelabo.net
Du 16-18 novembre 2012
Vernissage itinérant DISKO/BAR/CHARETTE le vendredi 16. Rdv à 17h devant l'Usine.
Un univers composé de porcs, d’humains, de paysages urbains post-modernes. Déployé sur de nombreux supports, de l’affiche à l’illustration en passant par la sculpture, la peinture et la bande dessinée. Sans rien perdre dans les allez-retours entre médiums; le travail de Martes Bathori est représentatif de ce que défends le Monste à plus d’un titre.
Des couleurs vives. Souvent primaires. Un cyan/magenta/jaune/noir comme pour une quadrichromie. Un jeu avec la trame qui transcende ce que la quadrichromie peut représenter comme contrainte technique.
Ce que Martes Bathori peint ce n’est pas une image, c’est déjà l’image d’une affiche imprimée.
Des récits également, qui utilisent pour exister des voies transversales. Il s’agit parfois de Bande dessinée, comme dans Hoïchi-le-sans-oreilles (éditions Hoochie Coochie). Mais aussi parfois de sortes d’illustrations narratives. Une forme de narration éclatée, basée sur un jeux de typographie et d’images dessinées, comme dans Utopia porcina (éditions Requins Marteaux) dont la série de peintures qu’il propose ici est une sorte de prolongement.
Des installations enfin, qui apportent souvent des réponses extrêmement pertinentes à cette question qui inlassablement, vient se poser à toute personne qui désire exposer de la Bande dessinée. Autrement qu’avec la méthode, parfois difficile à dépasser des planches originales accrochées au mur.
Martes Bathori
Vernissage itinérant DISKO/BAR/CHARETTE le vendredi 16. Rdv à 17h devant l'Usine.
Un univers composé de porcs, d’humains, de paysages urbains post-modernes. Déployé sur de nombreux supports, de l’affiche à l’illustration en passant par la sculpture, la peinture et la bande dessinée. Sans rien perdre dans les allez-retours entre médiums; le travail de Martes Bathori est représentatif de ce que défends le Monste à plus d’un titre.
Des couleurs vives. Souvent primaires. Un cyan/magenta/jaune/noir comme pour une quadrichromie. Un jeu avec la trame qui transcende ce que la quadrichromie peut représenter comme contrainte technique.
Ce que Martes Bathori peint ce n’est pas une image, c’est déjà l’image d’une affiche imprimée.
Des récits également, qui utilisent pour exister des voies transversales. Il s’agit parfois de Bande dessinée, comme dans Hoïchi-le-sans-oreilles (éditions Hoochie Coochie). Mais aussi parfois de sortes d’illustrations narratives. Une forme de narration éclatée, basée sur un jeux de typographie et d’images dessinées, comme dans Utopia porcina (éditions Requins Marteaux) dont la série de peintures qu’il propose ici est une sorte de prolongement.
Des installations enfin, qui apportent souvent des réponses extrêmement pertinentes à cette question qui inlassablement, vient se poser à toute personne qui désire exposer de la Bande dessinée. Autrement qu’avec la méthode, parfois difficile à dépasser des planches originales accrochées au mur.
Martes Bathori
- Monstre Festival : http://monstrefestival.blogspot.ch/
- Monstre Festival
- www.lemonstre.ch
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14:00 – 20:00 |
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| prix libre | |
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Ajouté
par aude le 12 novembre 2012