La décadanse

Je suis la nuit

La Parfumerie

Se réveiller dans le corps d’un autre,
un meurtrier, un monstre, une sainte ?
Des nuits et des jours indistincts,
possédés par le génie ou la bêtise,
notre défaillance en pâture à la chimie.

Les hallucinations se dressent
en danseuses macabres
leur son hurle dans nos têtes malades.
Tout est brèche, le froid pénétrant,
le vide absolu et l’impétueux vertige.
En définitive, nous sommes cuits !
Signaler une erreur Ajouté par Pan (La Compagnie Pan) le 9 février 2024