Zedrus - Dorsaz en concert au Bio
Cinéma Bio
Grande salle
- Rue St-Joseph 47 - Carouge - Genève
-
Voir sur le plan
- www.cinema-bio.ch
Ce n'est pas un mais deux albums que Zedrus a décidé de vernir ce printemps. Pour ce faire il invitera Dorsaz à ouvrir les feux dans le merveilleux écrin du Cinéma Bio à Carouge.
ZEDRUS
Avec son inconscience tranquille, Zedrus aime laisser une farce derrière lui. Il vit dans un monde où les cadavres sont insomniaques où les histoires d'amour ne finissent pas. Il cherche toujours à commettre l'erreur exacte. des crimes poétiques où l’ombre est impaire, où la folie a raison, où la mort est un sport. Il sombre dans les coups d'éclats. Les excès ne lui suffisent pas. Couvert de traces de coups de théâtre, Zedrus admire sa douleur préférée, cultive les fruits détendus, chante la liberté enlacée, la douceur passionnée. Si, par erreur vous voulez l'aimer... désolé, c'est juste pour la vie.
DORSAZ
Dorsaz n’aime pas les fins. Elle évoque l’équilibre fragile de nos vies de funambules, le temps qui se dérobe, les histoires inachevées. Elle nous invite à se pendre...mais à son cou, pour mieux s’évader, sans faire de bruit. Elle aime la nuit, quand celle-ci nous oublie. Et surtout les brumes de l’aube, qui font vibrer des mots, qu’ils soient d’amour ou de révolte. Elle cherche l’intensité, dans cette vie qui écœure, qui pleure, mais qui rit toujours plus fort.
ZEDRUS
Avec son inconscience tranquille, Zedrus aime laisser une farce derrière lui. Il vit dans un monde où les cadavres sont insomniaques où les histoires d'amour ne finissent pas. Il cherche toujours à commettre l'erreur exacte. des crimes poétiques où l’ombre est impaire, où la folie a raison, où la mort est un sport. Il sombre dans les coups d'éclats. Les excès ne lui suffisent pas. Couvert de traces de coups de théâtre, Zedrus admire sa douleur préférée, cultive les fruits détendus, chante la liberté enlacée, la douceur passionnée. Si, par erreur vous voulez l'aimer... désolé, c'est juste pour la vie.
DORSAZ
Dorsaz n’aime pas les fins. Elle évoque l’équilibre fragile de nos vies de funambules, le temps qui se dérobe, les histoires inachevées. Elle nous invite à se pendre...mais à son cou, pour mieux s’évader, sans faire de bruit. Elle aime la nuit, quand celle-ci nous oublie. Et surtout les brumes de l’aube, qui font vibrer des mots, qu’ils soient d’amour ou de révolte. Elle cherche l’intensité, dans cette vie qui écœure, qui pleure, mais qui rit toujours plus fort.
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20:30 |
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| Entrée libre | |
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Ajouté
par La Teuf le 18 avril 2023