Nicolas Constantin - Inframundo
Galerie Alexandre Mottier
- Boulevard Georges-Favon 17 - Genève
-
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- www.galerie-mottier.ch
Le voyage transporte l’âme, mais par-dessus tout la transforme. Nicko, baroudeur aux mille couleurs, retrace son aventure au Mexique à travers ses créations. Fasciné et imperceptiblement façonné par le mysticisme des lieux, l’artiste exprime alors un mélange de teintes, sensations, saveurs et vertiges de la vie locale qui résonnent inlassablement comme une musique envoûtante sur la toile. Contrastes saisissants d’une nature indomptable qui ressuscitent l’audace du peintre.
Il arpente à sa manière, au pinceau et à la bombe, les dédales artistiques de la culture maya, toltèque et zapotèque, une multitude de routes empruntées, graffant sa marque ça et là, sur les façades de Mérida, Cozumel et Oaxaca. Véritable fil rouge d’un périple par-delà les rencontres et la mosaïque bariolée des paysages mexicains, des eaux translucides des Caraïbes à la jungle déroutante du Chiapas. Le coeur secoué au détour d’une végétation magnétique et des vapeurs de mezcal.
Pourtant, instinctive et précise, la main de l’artiste ne tremble pas au moment de sublimer, à coup de points, traits et autres courbes, le lexique sculptural des civilisations précolombiennes. Donner un souffle nouveau à l’imagerie mortuaire de Chichen Itzá, tout en faisant danser les couleurs sur la feuille; personnaliser la faune et la flore à travers le prisme d’un imaginaire à géométrie redoutable.
A l’image du voyage, l’art de Nicko circule et se métamorphose. Il part de l’esquisse aux crayons sur son inséparable calepin, se prolonge par la peinture, avant d’atterir dans la sphère digitale, sans que l’inspiration originale ne s’en trouve altérée. Transformer les techniques et les supports pour transporter le spectateur, en conservant la rigueur et l’authenticité du geste pictural. L’essentiel de l’oeuvre, arrivée à destination, demeure : explorer des horizons lointains pour se réinventer continuellement et, au final, retourner à la source.
Baptiste Ruedin
Il arpente à sa manière, au pinceau et à la bombe, les dédales artistiques de la culture maya, toltèque et zapotèque, une multitude de routes empruntées, graffant sa marque ça et là, sur les façades de Mérida, Cozumel et Oaxaca. Véritable fil rouge d’un périple par-delà les rencontres et la mosaïque bariolée des paysages mexicains, des eaux translucides des Caraïbes à la jungle déroutante du Chiapas. Le coeur secoué au détour d’une végétation magnétique et des vapeurs de mezcal.
Pourtant, instinctive et précise, la main de l’artiste ne tremble pas au moment de sublimer, à coup de points, traits et autres courbes, le lexique sculptural des civilisations précolombiennes. Donner un souffle nouveau à l’imagerie mortuaire de Chichen Itzá, tout en faisant danser les couleurs sur la feuille; personnaliser la faune et la flore à travers le prisme d’un imaginaire à géométrie redoutable.
A l’image du voyage, l’art de Nicko circule et se métamorphose. Il part de l’esquisse aux crayons sur son inséparable calepin, se prolonge par la peinture, avant d’atterir dans la sphère digitale, sans que l’inspiration originale ne s’en trouve altérée. Transformer les techniques et les supports pour transporter le spectateur, en conservant la rigueur et l’authenticité du geste pictural. L’essentiel de l’oeuvre, arrivée à destination, demeure : explorer des horizons lointains pour se réinventer continuellement et, au final, retourner à la source.
Baptiste Ruedin
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mardi au vendredi de 14h à 19h et samedi de 13h à 17h |
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| gratuit | |
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Ajouté
par michel le 4 octobre 2022