Chez Valère Novarina, la langue est une fête, un vivier jubilatoire. Cet enfant de Genève, devenu une des figures incontournables du théâtre contemporain, pousse le langage dans ses retranchements comme peu d’autres. À l’occasion de la récente parution de «La République des traducteurs», nous le recevons en compagnie de Georgine Ayoub, qui l’a traduit en arabe, et de Constantin Bobas, qui a codirigé l’ouvrage.