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Plus vite, plus fort, plus haut : c’est Rotor vs. Robot.
Après 15 ans passés à fouler les scènes de France et un peu du Québec, dans un exercice infiniment répété de solitude multi-instrumentée, Rotor Jambreks a décidé de pousser plus loin le bricolage et la débrouillardise au service de la transpiration - et toujours avec des lunettes noires.
L’enfant du Tennessee Breton a ainsi pris son fer à souder et une adhésion au fablab. D’un amas de bois et de métal est apparu son alter ego robotique, Robotor, multi-instrumentiste lui aussi.
Ce dernier lui permet donc de s’augmenter pour faire autant de bruit que 4 humains, tout en limitant fortement ses coûts de production. Et comme ce robot joue implacablement bien, il permet, à partir d’un substrat rock-soul-blues, d’explorer des territoires un peu plus dissonants. Dans l’esprit d’un certain rock indépendant des années 1990. #TeamIeuv #VivantQuandKurtEstMort
En parallèle de ces activités low-tech, Rotor Jambreks explique l’histoire du rock’n’roll et de la soul aux jeunes et aux moins jeunes dans le cadre de concerts-conférences. Une nouvelle va être consacrée au choc de la rencontre entre l’électronique et le grand public, au tournant des années 1980, avec l’aide de Robotor bien sûr. Il mène aussi des ateliers, fait de la création sonore, enregistre et mixe, et il peut même vous gérer vos problèmes de configuration de téléphone portable si besoin, il suffit de demander.

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Signaler une erreur Ajouté par michel le 19 novembre 2021