« Ma poésie doit être vue, c’est-à-dire lue, du moins c’est comme ça que je la sens : je n’imagine pas de la déclamer ou de la réciter ou encore de la chanter, qu’il a le toupet de m’annoncer, Claude Tabarini, à l’heure où l’AMR me propose, dans le cadre de son 40ème festival de jazz, une mise en lecture de ses textes ! Il est vrai que c’était en juin 1985 dans les pages de Viva La Musica, dont j’assurais alors la coordination, des fleuves se sont depuis écoulés des plus hautes cimes aux plus lointains deltas, et avec l’indispensable et chatoyante fluidité du piano de Philippe Munger, avec même l’active participation du poète lui-même, ça ne nous empêchera en aucune manière de lui rendre un hommage tant littéraire que musical ! »
Philippe Koller
Philippe Koller, récitant, violon
Claude Tabarini, darbouka
Philippe Munger, clavier