INDICES de Vincent Glenn
Spoutnik
- 11, rue de la Coulouvrenière (Jonction) - Genève
-
Voir sur le plan
- www.spoutnik.info
'''INDICES''' de Vincent Glenn
2010/ France/ 71 min/ Beta SP
Le Produit Intérieur Brut (PIB) est l'indicateur de référence dans les médias. Mais ce mode de calcul rassurant dans un monde utilitariste est-il pertinent? Explications avec, entre autres, le Prix Nobel d'économie Joseph Stiglitz et le philosophe Dominique Meda.
Le réalisateur Vincent Glenn signe avec INDICES un documentaire qui démontre l'absurdité d'une comptabilité qui ne tient pas compte de l'humain dans son calcul (comme l'écrit Jean-Luc Porquet dans Le Canard Enchaîné: ''«... plus un pays produit d'armes et d'antidépresseurs, plus son PIB augmente. (...) Paradoxe: nous sommes riches mais déprimés. »''. Ce n'est pas un coup d'essai pour Glenn. En 2003, il signait déjà PAS ASSEZ DE VOLUME (NOTES SUR L'OMC) qui dézinguait déjà une institution représenté par trois timides lettres.
« ''La «croissance» citée, chiffrée, commentée chaque jour dans les médias, c'est la «croissance du PIB» et ce n'est que ça. Autant dire plus grand-chose. Cela ne donne qu'un piètre renseignement si on cherche à situer le «niveau de vie des habitants» de tel ou tel pays, mais surtout cette «croissance» n'indique presque plus rien du tout s'il s'agit de se faire une idée des progrès réalisés, si l'on en juge par exemple, par l'évolution du chômage, l'état des services publics, ou le niveau de pollution. Pourtant, tout semble encore s'organiser autour de cet indicateur, star des médias et divinité pour les «marchés».''» Vincent Glenn
www.critikat.com
2010/ France/ 71 min/ Beta SP
Le Produit Intérieur Brut (PIB) est l'indicateur de référence dans les médias. Mais ce mode de calcul rassurant dans un monde utilitariste est-il pertinent? Explications avec, entre autres, le Prix Nobel d'économie Joseph Stiglitz et le philosophe Dominique Meda.
Le réalisateur Vincent Glenn signe avec INDICES un documentaire qui démontre l'absurdité d'une comptabilité qui ne tient pas compte de l'humain dans son calcul (comme l'écrit Jean-Luc Porquet dans Le Canard Enchaîné: ''«... plus un pays produit d'armes et d'antidépresseurs, plus son PIB augmente. (...) Paradoxe: nous sommes riches mais déprimés. »''. Ce n'est pas un coup d'essai pour Glenn. En 2003, il signait déjà PAS ASSEZ DE VOLUME (NOTES SUR L'OMC) qui dézinguait déjà une institution représenté par trois timides lettres.
« ''La «croissance» citée, chiffrée, commentée chaque jour dans les médias, c'est la «croissance du PIB» et ce n'est que ça. Autant dire plus grand-chose. Cela ne donne qu'un piètre renseignement si on cherche à situer le «niveau de vie des habitants» de tel ou tel pays, mais surtout cette «croissance» n'indique presque plus rien du tout s'il s'agit de se faire une idée des progrès réalisés, si l'on en juge par exemple, par l'évolution du chômage, l'état des services publics, ou le niveau de pollution. Pourtant, tout semble encore s'organiser autour de cet indicateur, star des médias et divinité pour les «marchés».''» Vincent Glenn
www.critikat.com
|
18:00 – 19:15 |
|
| 7.- à 11.- | |
Signaler une erreur
Ajouté
par Cinéma Spoutnik le 26 mars 2011