Gouttes d’eau sur pierres brûlantes* ANNULÉ
POCHE /GVE
- Rue du cheval Blanc 7 (Centre) - Genève
-
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- www.poche---gve.ch
texte_Rainer Werner Fassbinder
traduction & mise en scène_mAthieu Bertholet
jeu_Valeria Bertolotto, Angèle Colas, Jean-Louis Johannides, Guillaume Miramond
Un homme de trente-cinq ans ramène un jeune homme inconnu chez lui. Le motif est évident, il veut le mettre dans son lit et y parviendra sans trop de difficultés. Dès lors, le couple s’installe en une vie commune gérée par un jeu de dominant/dominé déstabilisant à l’extrême. Un face-à-face intime où les MASQUES liberticides et amoureux s’exposent à vue, dévoilant avant tout la complexité des désirs et les bassesses qu’ils font parfois ressurgir. Ni Leopold ni Franz ne s’échapperont de cette pièce écrite à l’encre vive sans laisser derrière eux un peu de leur âme, et surtout de leur vie.
Rainer Werner Fassbinder a visiblement écrit cette pièce entre 1965 et 1966. Publiée en 1985 et sous-titrée comédie à fin pseudo-tragique elle fait appel à ce que le classique sait manipuler avec brio : le jeu des doubles. Double sens, dualité, clarté et lumière, vérités et mensonges, réalité et fiction. Les êtres s’y affrontent sans détours, et parfois avec une pathétique cruauté, mais cette articulation des émotions humaines Fassbinder en a fait sa signature autant que mAthieu Bertholet a fait de l’interrogation des drames et des fourberies sociales, la sienne.
*Selon le bon-vouloir des autorités et du virus.
traduction & mise en scène_mAthieu Bertholet
jeu_Valeria Bertolotto, Angèle Colas, Jean-Louis Johannides, Guillaume Miramond
Un homme de trente-cinq ans ramène un jeune homme inconnu chez lui. Le motif est évident, il veut le mettre dans son lit et y parviendra sans trop de difficultés. Dès lors, le couple s’installe en une vie commune gérée par un jeu de dominant/dominé déstabilisant à l’extrême. Un face-à-face intime où les MASQUES liberticides et amoureux s’exposent à vue, dévoilant avant tout la complexité des désirs et les bassesses qu’ils font parfois ressurgir. Ni Leopold ni Franz ne s’échapperont de cette pièce écrite à l’encre vive sans laisser derrière eux un peu de leur âme, et surtout de leur vie.
Rainer Werner Fassbinder a visiblement écrit cette pièce entre 1965 et 1966. Publiée en 1985 et sous-titrée comédie à fin pseudo-tragique elle fait appel à ce que le classique sait manipuler avec brio : le jeu des doubles. Double sens, dualité, clarté et lumière, vérités et mensonges, réalité et fiction. Les êtres s’y affrontent sans détours, et parfois avec une pathétique cruauté, mais cette articulation des émotions humaines Fassbinder en a fait sa signature autant que mAthieu Bertholet a fait de l’interrogation des drames et des fourberies sociales, la sienne.
*Selon le bon-vouloir des autorités et du virus.
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19:00 – 20:15 |
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| de CHF 10.- à CHF 28.- | |
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Ajouté
par LePoche le 15 mars 2021