Exposition (In)visibles
Parc des Bastions
- Prom. des Bastions 1, 1204 Genève - Plainpalais - Genève
- http://www.projetinvisibles.com
Découvrez du 3 au 31 octobre 2020 l'exposition photographique (In)visibles au Parc des Bastions à Genève, qui souhaite donner de la visibilité aux personnes LGBTIQ+ [1]. Le vernissage aura lieu le samedi 3 octobre à 11h, en présence d'Alfonso Gomez, Conseiller administratif de la Ville de Genève en charge de l'Egalité et de la Diversité, et sera suivi d'un apéritif au Palais Eynard offert par la Ville de Genève. L'événement est organisé dans le respect des mesures sanitaires en vigueur et en suivant au plus près les recommandations de l'Office fédéral de la santé publique et de l'Etat de Genève et sera limité à 100 personnes maximum (90 en intérieur).
Découvrez 21 histoires de couples et familles LGBTIQ+ témoignant de leur parcours de vie à Genève. Ils, elles et iels évoquent leurs craintes, leurs envies mais également leurs espoirs face à la société actuelle.
L'exposition est visible au Parc des Bastions du 3 au 31 octobre 2020 et s'inscrit dans le cadre de la campagne contre l'homophobie et la transphobie 2020 de la Ville de Genève, qui aura lieu autour du 11 octobre, Journée Internationale du coming-out. Elle est accompagnée de visites de classes scolaires afin de sensibiliser les jeune·x·s aux questions LGBTIQ+.
Ce projet est soutenu par la Fondation Mercator Suisse, la Ville de Genève ainsi que la Loterie Romande.
www.geneve-lgbtiq.ch
***
Aujourd’hui, en Suisse, l’égalité juridique et sociale n’est pas encore atteinte pour les personnes LGBTIQ+. La majorité des couples et familles LGBTIQ+ sont encore invisibles au sein de l’espace public. Entre la peur de vivre une agression physique, d’être le sujet d’insultes ou de recevoir des regards désapprobateurs, les raisons qui les amènent à ne pas partager des gestes de tendresse en public sont nombreuses. Ainsi, beaucoup de couples LGBTIQ+ adoptent des stratégies afin de ne pas être trop visibles, allant d’une survigilance à une cartographie des espaces considérés comme comme sûrs.
Ces discriminations et ces violences, et/ou la peur de les vivre, engendrent un coût psychique et physique élevé pour les personnes concernées. Le projet (In)visibles est né en réponse à cette réalité, en 2019 au sein de l’association Tou·te·x·s visibles. Il a été initié au sein de l’incubateur de projets sur le genre Bøwie et a pour but d’être répliqué dans plusieurs villes de Suisse.
Plus d’infos sur le projet: www.projetinvisibles.com
Si vous souhaitez faire une visite avec votre classe ou participer à la prochaine édition, n'hésitez pas à nous écrire à l'adresse suivante: in.visibles.lgbtiq@gmail.com
[1] Lesbiennes, Gays, Bisexuel·le·s, Transgenre, Intersexes, Queer et plus. Cet acronyme qualifie les personnes plus à risque de vivre des discriminations en lien avec leur orientation sexuelle et affective, leur identité et expression de genre, ainsi que leur sexe.
Découvrez 21 histoires de couples et familles LGBTIQ+ témoignant de leur parcours de vie à Genève. Ils, elles et iels évoquent leurs craintes, leurs envies mais également leurs espoirs face à la société actuelle.
L'exposition est visible au Parc des Bastions du 3 au 31 octobre 2020 et s'inscrit dans le cadre de la campagne contre l'homophobie et la transphobie 2020 de la Ville de Genève, qui aura lieu autour du 11 octobre, Journée Internationale du coming-out. Elle est accompagnée de visites de classes scolaires afin de sensibiliser les jeune·x·s aux questions LGBTIQ+.
Ce projet est soutenu par la Fondation Mercator Suisse, la Ville de Genève ainsi que la Loterie Romande.
www.geneve-lgbtiq.ch
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Aujourd’hui, en Suisse, l’égalité juridique et sociale n’est pas encore atteinte pour les personnes LGBTIQ+. La majorité des couples et familles LGBTIQ+ sont encore invisibles au sein de l’espace public. Entre la peur de vivre une agression physique, d’être le sujet d’insultes ou de recevoir des regards désapprobateurs, les raisons qui les amènent à ne pas partager des gestes de tendresse en public sont nombreuses. Ainsi, beaucoup de couples LGBTIQ+ adoptent des stratégies afin de ne pas être trop visibles, allant d’une survigilance à une cartographie des espaces considérés comme comme sûrs.
Ces discriminations et ces violences, et/ou la peur de les vivre, engendrent un coût psychique et physique élevé pour les personnes concernées. Le projet (In)visibles est né en réponse à cette réalité, en 2019 au sein de l’association Tou·te·x·s visibles. Il a été initié au sein de l’incubateur de projets sur le genre Bøwie et a pour but d’être répliqué dans plusieurs villes de Suisse.
Plus d’infos sur le projet: www.projetinvisibles.com
Si vous souhaitez faire une visite avec votre classe ou participer à la prochaine édition, n'hésitez pas à nous écrire à l'adresse suivante: in.visibles.lgbtiq@gmail.com
[1] Lesbiennes, Gays, Bisexuel·le·s, Transgenre, Intersexes, Queer et plus. Cet acronyme qualifie les personnes plus à risque de vivre des discriminations en lien avec leur orientation sexuelle et affective, leur identité et expression de genre, ainsi que leur sexe.
- Association Tou·te·x·s visibles : https://anousdejouer.ch/Projet-In-visibles
- https://www.projetinvisibles.c
om/geneve
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11:00 |
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par in.visibles_lgbtiq le 11 septembre 2020