'''De et par Pierre Meunier'''
Comme Aristote, Horace ou Boileau, Meunier s’est fait, ici, l’auteur d’un véritable «art poétique» : non seulement il redéfinit l’esthétique mais il lui adjoint – qui plus est – une éthique, une réflexion sur «le plus bel ordre du monde». Ce plaidoyer pour le tas, pour le caillou, pour le rien, constitue, aussi, un admirable plaidoyer pour la sensibilité, pour l’approfondissement du regard et l’étonnement du regardeur.