Festival AKOUPHENE
Cave12
- rue de la Prairie 4, 1202 Genève (Servette) - Genève
-
Voir sur le plan
- www.cave12.org
VENDREDI 22 NOVEMBRE // DEFLAGRATIONS
Portes 20h30 // Concerts 21h00 précise! // 15.- CHF // prix de soutien: 20.- CHF
Dans la circularité du frottement des matières et du mouvement corporel, CONTINUUM envisage le son comme une trajectoire modulée en profondeur par le temps parcouru, dont les frictions libèrent la musique de leur itinéraire, par sympathie avec le lieu et ses résonances propres.
FUCKTHEMOON visite le motif de la boucle comme un espace généré par le déplacement, celui de deux performers-satellites en équilibre gestuel et sonore dans une chorégraphie induite par le dispositif minimal qui lui donne lieu - une poutre battue à la masse, conçue à la fois comme scène, véhicule et instrument.
Nina Garcia - Maria Bertel pratiquent quant à elle le duo dans une radicalité dévouée à l’explosion des approches de leurs instruments respectifs comme des registres de la rencontre improvisée, sous l’angle de la collision, en vue de produire une poétique du débris et des scories résolument incandescente, à l’image de leur énergie chaotique.
Dans cette continuité d’élan et de tourbillon électrique à deux, MAGRAVA déploie les multiples bras de sa galaxie free-noise à la manière d’un flux survolté au psychédélisme extatique et tortueux, un matraquage sonique infligé par la paire pour battre l’ivresse et en forger la transe.
Portes 20h30 // Concerts 21h00 précise! // 15.- CHF // prix de soutien: 20.- CHF
Dans la circularité du frottement des matières et du mouvement corporel, CONTINUUM envisage le son comme une trajectoire modulée en profondeur par le temps parcouru, dont les frictions libèrent la musique de leur itinéraire, par sympathie avec le lieu et ses résonances propres.
FUCKTHEMOON visite le motif de la boucle comme un espace généré par le déplacement, celui de deux performers-satellites en équilibre gestuel et sonore dans une chorégraphie induite par le dispositif minimal qui lui donne lieu - une poutre battue à la masse, conçue à la fois comme scène, véhicule et instrument.
Nina Garcia - Maria Bertel pratiquent quant à elle le duo dans une radicalité dévouée à l’explosion des approches de leurs instruments respectifs comme des registres de la rencontre improvisée, sous l’angle de la collision, en vue de produire une poétique du débris et des scories résolument incandescente, à l’image de leur énergie chaotique.
Dans cette continuité d’élan et de tourbillon électrique à deux, MAGRAVA déploie les multiples bras de sa galaxie free-noise à la manière d’un flux survolté au psychédélisme extatique et tortueux, un matraquage sonique infligé par la paire pour battre l’ivresse et en forger la transe.
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Ajouté
par festival akouphene le 4 novembre 2019