L’entre-deux monde, l’art comme arme de guérison
Théâtre de l'Usine
- 11, rue de la Coulouvrenière (Jonction) - Genève
-
Voir sur le plan
- https://www.theatredelusine.ch
Dans le cadre du weekend "Rupture:dissocier, transformer, (dé)construire les récits" au TU - Théâtre de l'Usine et à la librairie la Dispersion:
L’entre-deux monde, l’art comme arme de guérison
Soirée de performances/veillée
Portes: 19h
Le collectif Afrikadaa lance le dernier numéro de leur revue « L’entre-deux monde, l’art comme arme de guérison ». Avec les contributions et performances de Pascale Obolo (rédactrice en chef de la revue), Anna Tjé, Maïté Chénière et Lomani Mondonga.
Afrikadaa est à la fois un collectif et une revue consti- tuée d’artistes, cinéastes, musicien.ne.s et chercheur.euse.s issu.e.s des diasporas africaines et afro-caribéennes vivant à Paris qui se sont retrouvé.e.s autour d’un besoin commun de reprendre le contrôle des récits sur les corps et identités noires dans les pratiques culturelles. Pour chaque lancement d’une nouvelle revue, le collectif conçoit un format de “revue augmentée” qui se déploie à la fois comme un acte éditorial et un laboratoire d’expérimentations performatives.
***
A propos de Rupture:
Rupture : dissocier, transformer, (dé)construire les récits.
Avec la participation de Laura Nsafou, Pascale Obolo, Marine Bachelot Nguyen, Anna Tjé, Lomani Mondonga, Maïté Chénière
Durant ce premier weekend d’octobre, le TU-Théâtre de L’Usine et la librairie La Dispersion ac- cueillent un premier événement public organisé par le groupe de travail récemment formé autour de la lecture de l’ouvrage Décolonisons les arts !. Principalement consacré à des rencontres entre pro- fessionnel.le.x.s de la culture et chercheur. se.x.s, ce groupe de travail s’interroge sur des questions d’anti-racisme et des perspectives décoloniales dans les milieux culturels, notamment en Suisse romande où la plupart des membres sont active.x.s. Le groupe est actuellement composé de Ramaya Tegegne, Manon Saada Russo, Mélanie Pétremont, Hélène Mateev, Léa Genoud, Gemma Ushengewe, Fatima Guinassi-Wegmann et Camille Tomatala.
Ce premier moment ouvert au public se dédie à la question du récit - à savoir - comment se réap- proprier les moyens de narration monopolisés par une culture dominante euro-centrée?
Plus d'infos: www.facebook.com
L’entre-deux monde, l’art comme arme de guérison
Soirée de performances/veillée
Portes: 19h
Le collectif Afrikadaa lance le dernier numéro de leur revue « L’entre-deux monde, l’art comme arme de guérison ». Avec les contributions et performances de Pascale Obolo (rédactrice en chef de la revue), Anna Tjé, Maïté Chénière et Lomani Mondonga.
Afrikadaa est à la fois un collectif et une revue consti- tuée d’artistes, cinéastes, musicien.ne.s et chercheur.euse.s issu.e.s des diasporas africaines et afro-caribéennes vivant à Paris qui se sont retrouvé.e.s autour d’un besoin commun de reprendre le contrôle des récits sur les corps et identités noires dans les pratiques culturelles. Pour chaque lancement d’une nouvelle revue, le collectif conçoit un format de “revue augmentée” qui se déploie à la fois comme un acte éditorial et un laboratoire d’expérimentations performatives.
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A propos de Rupture:
Rupture : dissocier, transformer, (dé)construire les récits.
Avec la participation de Laura Nsafou, Pascale Obolo, Marine Bachelot Nguyen, Anna Tjé, Lomani Mondonga, Maïté Chénière
Durant ce premier weekend d’octobre, le TU-Théâtre de L’Usine et la librairie La Dispersion ac- cueillent un premier événement public organisé par le groupe de travail récemment formé autour de la lecture de l’ouvrage Décolonisons les arts !. Principalement consacré à des rencontres entre pro- fessionnel.le.x.s de la culture et chercheur. se.x.s, ce groupe de travail s’interroge sur des questions d’anti-racisme et des perspectives décoloniales dans les milieux culturels, notamment en Suisse romande où la plupart des membres sont active.x.s. Le groupe est actuellement composé de Ramaya Tegegne, Manon Saada Russo, Mélanie Pétremont, Hélène Mateev, Léa Genoud, Gemma Ushengewe, Fatima Guinassi-Wegmann et Camille Tomatala.
Ce premier moment ouvert au public se dédie à la question du récit - à savoir - comment se réap- proprier les moyens de narration monopolisés par une culture dominante euro-centrée?
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par theatredelusine le 4 octobre 2019