Si Leo Walden parle d’amour c’est avec la rage conquérante d’un maître de cérémonie – un Mc – en terre rock’n’roll.
Que ce soit sur guitares distordues ou gratte acoustique, la voix perçante du barbu enfonce les frontières sans tamponner son passeport.
Ça se veut brut, entier, libre et engagé.
On peut s'en approcher mais ce machin n'est pas domestique.
À écouter avec une clope sans filtre.
En cas de mauvais temps rocade le 22 septembre.