Ce titre en forme de clin d’œil anachronique recouvre un autre récit, plus ancien et bien plus tragique. Aline est aussi le prénom donné par Charles Ferdinand Ramuz à l’héroïne de son premier roman, paru en 1905. Thierry Romanens promet que « L’histoire est tragique, mais le spectacle ne le sera pas ». Pour cette création, il s’entoure à nouveau du trio de post-jazz Format A’3.