LE BOUC
Les Amis musiquethéâtre
- Place du Temple 8 - Carouge - Genève
-
Voir sur le plan
- https://lesamismusiquetheatre.ch
de Rainer Werner Fassbinder (1945-82)
Avec Bruni Peki, Morgane Herbez, Antonin Buisson, Hugo Cherpillod, Alice Michaillat, Alexandre Vernacchio, Anastasia de Franchi, Neyma Kronegg, Bilgi Sahin, Eulalie Inès Mulumba
Mise en scène Philippe Lüscher
Lumière Rinaldo Del Boca
SYNOPSIS
Der Katzelmacher (le bouc en français) signifie en argot: l‘immigré. Ecrite en 1969, la pièce raconte l’arrivée d’un travailleur immigré grec dans un village bavarois. Jorgos, c’est son prénom, est sèchement accueilli par les jeunes du village. Il fait l’objet de toutes les attentions et très rapidement la calomnie, la rumeur, le désir, la jalousie et la haine prennent le pas sur la morosité et le conformisme ambiants. Le texte, composé de courtes séquences, montre comment peut se réveiller en chacun la sauvagerie, les peurs ancestrales et les désirs inavoués. Le regard de Fassbinder est sans concessions. Libre au spectateur de se demander si notre société démocratique a évolué en cinquante ans.
Mise en scène de Philippe Lüscher, avec les élèves de théâtre du Conservatoire populaire, spectacle créé à L’Abri en mai 2018.
Avec Bruni Peki, Morgane Herbez, Antonin Buisson, Hugo Cherpillod, Alice Michaillat, Alexandre Vernacchio, Anastasia de Franchi, Neyma Kronegg, Bilgi Sahin, Eulalie Inès Mulumba
Mise en scène Philippe Lüscher
Lumière Rinaldo Del Boca
SYNOPSIS
Der Katzelmacher (le bouc en français) signifie en argot: l‘immigré. Ecrite en 1969, la pièce raconte l’arrivée d’un travailleur immigré grec dans un village bavarois. Jorgos, c’est son prénom, est sèchement accueilli par les jeunes du village. Il fait l’objet de toutes les attentions et très rapidement la calomnie, la rumeur, le désir, la jalousie et la haine prennent le pas sur la morosité et le conformisme ambiants. Le texte, composé de courtes séquences, montre comment peut se réveiller en chacun la sauvagerie, les peurs ancestrales et les désirs inavoués. Le regard de Fassbinder est sans concessions. Libre au spectateur de se demander si notre société démocratique a évolué en cinquante ans.
Mise en scène de Philippe Lüscher, avec les élèves de théâtre du Conservatoire populaire, spectacle créé à L’Abri en mai 2018.
|
19:00 |
|
Signaler une erreur
Ajouté
par michel le 20 juin 2019