16ème Festival AKOUPHENE
Cave12
- rue de la Prairie 4, 1202 Genève (Servette) - Genève
-
Voir sur le plan
- www.cave12.org
« STRIDENCES »
Prune Bécheau (France)
Violon Solo
+
Seijiro Murayama (Japon)
Percussion, Voix Solo
+
Christian Wolfarth (CH)
Percussion Solo
+
Arnaud Rivière (France)
Electronique Solo
Akouphène ouvre sa première soirée à l’écoute des stridences, ces lignes qui ne se contentent pas de délimiter les territoires du son et de leurs zones de confort par l’évocation d’un au-delà scandaleux mais qui s’y aventurent pour en redessiner les contours et façonner de nouvelles marges. Une couleur particulière, qui une fois délogée du timbre de l’instrument se fiche dans la nuque, s’accroche au tympan pour mieux révéler ses enjeux polyphoniques au creux de l’oreille. Prune Bécheau, Seijiro Murayama, Christian Wolfarth et Arnaud Rivière accueillent cette facette du son et la remodèlent au travers de gestes qui tantôt la compressent pour exprimer son identité multiple, tantôt s’évertuent à en isoler la trajectoire squelettique ou l’évoquent par une surdité calme et entêtante, invitée dans le cadre de quatre performances solistes à réconcilier l’auditeur avec son acouphène gardien.
Prune Bécheau (France)
Violon Solo
+
Seijiro Murayama (Japon)
Percussion, Voix Solo
+
Christian Wolfarth (CH)
Percussion Solo
+
Arnaud Rivière (France)
Electronique Solo
Akouphène ouvre sa première soirée à l’écoute des stridences, ces lignes qui ne se contentent pas de délimiter les territoires du son et de leurs zones de confort par l’évocation d’un au-delà scandaleux mais qui s’y aventurent pour en redessiner les contours et façonner de nouvelles marges. Une couleur particulière, qui une fois délogée du timbre de l’instrument se fiche dans la nuque, s’accroche au tympan pour mieux révéler ses enjeux polyphoniques au creux de l’oreille. Prune Bécheau, Seijiro Murayama, Christian Wolfarth et Arnaud Rivière accueillent cette facette du son et la remodèlent au travers de gestes qui tantôt la compressent pour exprimer son identité multiple, tantôt s’évertuent à en isoler la trajectoire squelettique ou l’évoquent par une surdité calme et entêtante, invitée dans le cadre de quatre performances solistes à réconcilier l’auditeur avec son acouphène gardien.
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20:30 |
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| 15.- | |
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Ajouté
par festival akouphene le 5 novembre 2018