Le Fou de Claude Goretta
Spoutnik
- 11, rue de la Coulouvrenière (Jonction) - Genève
-
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- www.spoutnik.info
Suisse, 1970, 85’, NB, DCP, vo français
Après une vie dédiée au travail, Georges Plond (François Simon) a rejoint l'âge de la retraite. Les années à venir devraient lui réserver une vie modeste mais suite à un mauvais investissement recommandé par un promoteur il se retrouve sans sous et choisi de se rebeller. "Le Fou" est le premier long-métrage de Claude Goretta.
“Parmi les meilleurs films qui ont marqué dès 1968, la naissance du jeune cinéma romand, quelques-uns mettent en scène, curieusement, non points des contestataires adolescents, mais des vieillards. "Angèle", "Charles mort ou vif" ou "Le Fou" montrent des fins de vie, où tout d’un coup, des sursauts de révolte remettent en question l’ordre social et son caractère sournoisement oppressif travesti par les mythes chers à l'idéologie du libéralisme”.
Freddy Buache, Le cinéma suisse, L’Age d’Homme, pages 187
Essayer encore, rater encore, rater mieux
Les années 68 à Genève
Dans le prolongement de l’exposition "Essayer encore, rater encore, rater mieux" au Commun du 13 septembre au 7 octobre, le Spoutnik et Rosa Brux présentent une série de documents en relation avec les années 68 à Genève. En associant des films tournés à Genève, des films d’artistes, un film interdit, des films tracts et des films récemment restaurés, la sélection propose de saisir les préoccupations d’une époque et de reconsidérer l’actualité de la contestation genevoise.
Après une vie dédiée au travail, Georges Plond (François Simon) a rejoint l'âge de la retraite. Les années à venir devraient lui réserver une vie modeste mais suite à un mauvais investissement recommandé par un promoteur il se retrouve sans sous et choisi de se rebeller. "Le Fou" est le premier long-métrage de Claude Goretta.
“Parmi les meilleurs films qui ont marqué dès 1968, la naissance du jeune cinéma romand, quelques-uns mettent en scène, curieusement, non points des contestataires adolescents, mais des vieillards. "Angèle", "Charles mort ou vif" ou "Le Fou" montrent des fins de vie, où tout d’un coup, des sursauts de révolte remettent en question l’ordre social et son caractère sournoisement oppressif travesti par les mythes chers à l'idéologie du libéralisme”.
Freddy Buache, Le cinéma suisse, L’Age d’Homme, pages 187
Essayer encore, rater encore, rater mieux
Les années 68 à Genève
Dans le prolongement de l’exposition "Essayer encore, rater encore, rater mieux" au Commun du 13 septembre au 7 octobre, le Spoutnik et Rosa Brux présentent une série de documents en relation avec les années 68 à Genève. En associant des films tournés à Genève, des films d’artistes, un film interdit, des films tracts et des films récemment restaurés, la sélection propose de saisir les préoccupations d’une époque et de reconsidérer l’actualité de la contestation genevoise.
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19:00 |
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| Normal: 12 CHF / Réduit: 8.- / Membre: 7.- / Enfant: 5.- / 20ans20ans: 5.- | |
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par Cinéma Spoutnik le 19 septembre 2018