Café politique sur le féminisme révolutionnaire + DJ's surprise
La Makhno
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Aujourd'hui, des décennies de victoires âprement disputées dans la lutte pour l'émancipation féminine sont menacées par des vagues de misogynie renaissante. Des attaques contre l'avortement et la justice reproductive, à la renaissance et à la diffusion du fondamentalisme religieux et du nationalisme autoritaire...le patriarcat est en marche. Pendant ce temps, alors que les médias corporatifs célèbrent le mouvement #TimesUp initié par des femmes riches à Hollywood, le féminicide, l'exploitation sexuelle et le viol continuent de déchirer des communautés plus marginalisées.
Les systèmes de domination masculine se situent aux racines mêmes du capitalisme et du pouvoir étatique. Pendant les périodes de crise politique et de contre-révolution, les femmes et tous ceux qui évitent leurs rôles de genre assignés socialement sont souvent les premiers à être la cible de la répression et de l'augmentation de la violence. C'est en partie à cause de la position importante que les femmes ont toujours occupée, en tant que cœur battant des communautés de résistance. Mais cette répression est aussi un geste symbolique pour les hommes de la classe ouvrière qui sont bouleversés par leur statut social et économique en déclin et qui, plutôt que de concentrer leur rage sur leurs véritables ennemis - les riches et les puissants - ont toujours opté pour l'embrayage. toujours plus près de leurs positions de pouvoir relatif et de contrôle sur leurs futures camarades féminines.
Dans l'édition de ce mois de Trouble, sub.Media jette un regard sur le patriarcat comme un système durable de contrôle social, économique et politique, et partage des histoires de certaines des luttes de première ligne menées par les femmes du monde entier - des communautés autochtones combattant contre la dépossession coloniale de leurs terres, face aux défis auxquels sont confrontés les migrants chassés de leurs foyers par les inégalités économiques, le changement climatique et la guerre.
Projection à 21h (VOST)
Discussion à 21h45
Soirée dansante dès 23h !
Alerta, alerta anti-sexista!
Les systèmes de domination masculine se situent aux racines mêmes du capitalisme et du pouvoir étatique. Pendant les périodes de crise politique et de contre-révolution, les femmes et tous ceux qui évitent leurs rôles de genre assignés socialement sont souvent les premiers à être la cible de la répression et de l'augmentation de la violence. C'est en partie à cause de la position importante que les femmes ont toujours occupée, en tant que cœur battant des communautés de résistance. Mais cette répression est aussi un geste symbolique pour les hommes de la classe ouvrière qui sont bouleversés par leur statut social et économique en déclin et qui, plutôt que de concentrer leur rage sur leurs véritables ennemis - les riches et les puissants - ont toujours opté pour l'embrayage. toujours plus près de leurs positions de pouvoir relatif et de contrôle sur leurs futures camarades féminines.
Dans l'édition de ce mois de Trouble, sub.Media jette un regard sur le patriarcat comme un système durable de contrôle social, économique et politique, et partage des histoires de certaines des luttes de première ligne menées par les femmes du monde entier - des communautés autochtones combattant contre la dépossession coloniale de leurs terres, face aux défis auxquels sont confrontés les migrants chassés de leurs foyers par les inégalités économiques, le changement climatique et la guerre.
Projection à 21h (VOST)
Discussion à 21h45
Soirée dansante dès 23h !
Alerta, alerta anti-sexista!
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20:00 – 03:00 |
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| Entrée Libre | |
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par La Makhno le 1er mai 2018