LAPIN 243 _ COMMEDIA 2018
La Comédie de Genève
- Esplanade Alice-Bailly 1 - Les Eaux-Vives - Genève
-
Voir sur le plan
- https://www.comedie.ch
Entrée libre
LAPIN 243
de Chloé Marguerie
Compagnie CNEPUK - Université de Franche-Comté
« Tu préfères gagner la course et donner ton argent à une œuvre caritative ou ne pas gagner mais qu’on te paye un peu pour avoir une interview de toi? »
Un homme, une femme et un bateau. Ainsi commence Lapin 243, le journal de bord vivant de deux coéquipiers engagés sur une course de voiliers. Inspiré par le fait divers de Donald Crowhurst (1969), un navigateur amateur qui sombra dans un vaste mensonge au fur et à mesure de la compétition à laquelle il participait, Lapin 243 interroge l’adaptation d’un fait réel en fiction et invite, dans un humour insolent, à une balade en haute mer.
Faire une fiction d’un meurtre ou d’une disparition permet de mieux connaître les personnages, de comprendre les raisons et les motivations qui les poussent à commettre l’irréparable. La fiction laisse à l’auteur le choix, risqué, d’interpréter librement la réalité. Le fait divers renvoie à nos peurs tout comme à nos fantasmes en permettant une certaine identification aux personnages. Sur une scène, en représentation, la brutalité de l’inimaginable entraîne une sorte de purgation des passions des spectateurs qui voient sous leurs yeux l’accomplissement de leurs fantasmes les plus profonds.
LAPIN 243
de Chloé Marguerie
Compagnie CNEPUK - Université de Franche-Comté
« Tu préfères gagner la course et donner ton argent à une œuvre caritative ou ne pas gagner mais qu’on te paye un peu pour avoir une interview de toi? »
Un homme, une femme et un bateau. Ainsi commence Lapin 243, le journal de bord vivant de deux coéquipiers engagés sur une course de voiliers. Inspiré par le fait divers de Donald Crowhurst (1969), un navigateur amateur qui sombra dans un vaste mensonge au fur et à mesure de la compétition à laquelle il participait, Lapin 243 interroge l’adaptation d’un fait réel en fiction et invite, dans un humour insolent, à une balade en haute mer.
Faire une fiction d’un meurtre ou d’une disparition permet de mieux connaître les personnages, de comprendre les raisons et les motivations qui les poussent à commettre l’irréparable. La fiction laisse à l’auteur le choix, risqué, d’interpréter librement la réalité. Le fait divers renvoie à nos peurs tout comme à nos fantasmes en permettant une certaine identification aux personnages. Sur une scène, en représentation, la brutalité de l’inimaginable entraîne une sorte de purgation des passions des spectateurs qui voient sous leurs yeux l’accomplissement de leurs fantasmes les plus profonds.
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18:00 – 20:00 |
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| entrée libre | |
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par festivalcommedia le 25 avril 2018