FILMS DE MINUIT: MARATHON - GHOST IN THE SHELL - MAMORU OSHII
Spoutnik
- 11, rue de la Coulouvrenière (Jonction) - Genève
-
Voir sur le plan
- www.spoutnik.info
CARTE BLANCHE À NELSON
GHOST IN THE SHELL
Mamoru Oshii, Japon, 1995, 82′, coul., HD, VO japonais ST français
&
GHOST IN THE SHELL 2: INNOCENCE
Mamoru Oshii, Japon, 2004, 100′, coul., HD, VO japonais ST français
Adaptation du manga de Masamune Shirow.
" As I float up toward the surface, I almost feel as I could change into something else "
Immersion totale dans un classique de l’animation japonaise. Cyber thriller d’anthologie, manga de science-fiction mettant en scène les thématiques chères au genre: cybercriminalité, manipulation, intelligence artificielle, éthique et code, devenir de l’humanité: “Ghost in the shell” et “Ghost in the shell 2 : innocence”, travaille à ébranler nos suppositions et nos postulats sur le sens du qu’est-ce qu’un être humain aujourd’hui dans un monde post-humain, et nous interroge sur la façon dont nous devrions peut-être nous sentir plus concerné·s·e·x dans nos relations avec les Ningyo avec lesquelles nous partageons et occupons ce monde. Le tout orchestré par l’envoûtante bande son de Kenji Kawai.
GHOST IN THE SHELL
Mamoru Oshii, Japon, 1995, 82′, coul., HD, VO japonais ST français
&
GHOST IN THE SHELL 2: INNOCENCE
Mamoru Oshii, Japon, 2004, 100′, coul., HD, VO japonais ST français
Adaptation du manga de Masamune Shirow.
" As I float up toward the surface, I almost feel as I could change into something else "
Immersion totale dans un classique de l’animation japonaise. Cyber thriller d’anthologie, manga de science-fiction mettant en scène les thématiques chères au genre: cybercriminalité, manipulation, intelligence artificielle, éthique et code, devenir de l’humanité: “Ghost in the shell” et “Ghost in the shell 2 : innocence”, travaille à ébranler nos suppositions et nos postulats sur le sens du qu’est-ce qu’un être humain aujourd’hui dans un monde post-humain, et nous interroge sur la façon dont nous devrions peut-être nous sentir plus concerné·s·e·x dans nos relations avec les Ningyo avec lesquelles nous partageons et occupons ce monde. Le tout orchestré par l’envoûtante bande son de Kenji Kawai.
|
23:30 |
|
| Entrée libre | |
Signaler une erreur
Ajouté
par Cinéma Spoutnik le 23 avril 2018