LE PLUS PROFOND C'EST LA PEAU
Le Cabanon
- Faculté des Lettres, Quartier Chamberonne, Batiment Anthropole Niveau 1 - Lausanne - Vaud
-
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- http://lecabanon-unil.ch
Une proposition de Clarissa Fornara
Avec des oeuvres de Lucie Cellier, Carine Chrast, Sara Faustino, Natacha Todeschini, Jessica Voelke et Maria Fernanda Ordoñez
Le Cabanon a le plaisir de vous présenter sa nouvelle exposition : «Le plus profond, c'est la peau». Proposée et commissariée par Clarissa Fornara, ce projet présentera les œuvres de Lucie Cellier, Carine Chrast, Sara Faustino, Natacha Todeschini, Jessica Voelke et Maria Fernanda Ordoñez. «Le plus profond, c’est la peau» est une réflexion autour de la perception rendant compte de la multiplicité de points de vue qu’engendre une œuvre d’art au public. Cette exposition, réunissant six jeunes artistes de la région offre au spectateur un cadre pour interroger la relation qu’il entretient avec ce qui l’entoure et les images qu’il approche ; l’emmenant ainsi au-delà de sa première impression. Différents travaux de natures multiples habiteront l’espace du Cabanon et questionneront les conceptions de la perception à travers l’espace. «Le plus profond, c’est la peau» invite le spectateur à reconsidérer son rapport à l’œuvre d'art.
Pour le graphisme du semestre de printemps, une carte blanche a été confiée à Tina Gabriel, étudiante à l’ECAL.
Avec des oeuvres de Lucie Cellier, Carine Chrast, Sara Faustino, Natacha Todeschini, Jessica Voelke et Maria Fernanda Ordoñez
Le Cabanon a le plaisir de vous présenter sa nouvelle exposition : «Le plus profond, c'est la peau». Proposée et commissariée par Clarissa Fornara, ce projet présentera les œuvres de Lucie Cellier, Carine Chrast, Sara Faustino, Natacha Todeschini, Jessica Voelke et Maria Fernanda Ordoñez. «Le plus profond, c’est la peau» est une réflexion autour de la perception rendant compte de la multiplicité de points de vue qu’engendre une œuvre d’art au public. Cette exposition, réunissant six jeunes artistes de la région offre au spectateur un cadre pour interroger la relation qu’il entretient avec ce qui l’entoure et les images qu’il approche ; l’emmenant ainsi au-delà de sa première impression. Différents travaux de natures multiples habiteront l’espace du Cabanon et questionneront les conceptions de la perception à travers l’espace. «Le plus profond, c’est la peau» invite le spectateur à reconsidérer son rapport à l’œuvre d'art.
Pour le graphisme du semestre de printemps, une carte blanche a été confiée à Tina Gabriel, étudiante à l’ECAL.
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10:00 – 17:00 |
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Ajouté
par michel le 14 avril 2018