Grève féministe au cinéma : Le sel de la terre
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Le 8 mars 2018, se déroulera un événement sans précédent, la Journée internationale des femmes. Le mouvement féministe international appelle à une grève générale, qui sera soutenue par les syndicats, les partis politiques ou, à un niveau plus individuel, les hommes à un degré différent selon les pays.
Cependant, ce qui ne donnera pas lieu à différentes interprétations ou évaluations est l'inquestionable lien entre la justice du travail et sexuelle présentée par cette grève, le fait que l'amélioration des conditions de travail implique ou non la lutte contre les inégalités entre les genres.
Au-delà de la présentation des motifs, l'accent mis sur l'effet de la grève féministe est nécessaire. Le chômage des femmes va briser le tabou: Sans l'activité de travail, dans un sens classique, et sans l'effort des femmes, le système ne progresse pas. Les femmes sont le sel de la terre.
« Le Sel de la Terre » (1954), fut le titre que Herbert J. Biberman donna à son film sur la tenue, par les femmes du village, d'une grève des travailleurs des mines du Nouveau-Mexique, ce pour profiter stratégiquement d'un vide légal. La chose la plus remarquable dans le complot sont les effets de la grève des femmes à la fois pour la situation de travail des travailleurs et pour l'égalité des sexes.
C'est ainsi que Biberman a présenté une nouvelle façon de comprendre le cinéma comme un moyen de mener des luttes constantes qui doivent être commencées et maintenues. Le contenu réaliste donnait la prééminence aux femmes opprimées dans la réalité et au cinéma. La distribution était composée de travailleurs. Le film a été développé avec la participation à la prise de décision par l'ensemble de l'équipe. Tant le tournage, la diffusion du film, a survécu à l'emprisonnement de membres de l'équipe en pleine chasse aux sorcières sénateur McCarthy et le boycott de sa projection dans les salles.
C'est ainsi que "Le Sel de la Terre" est un appel à l'action et à la résistance. C'est aussi un appel à la réflexion. C'est celle-ci que mettrons en évidence le 8 mars prochain sur Cine Periferia après une journée de mobilisation productive.
Cependant, ce qui ne donnera pas lieu à différentes interprétations ou évaluations est l'inquestionable lien entre la justice du travail et sexuelle présentée par cette grève, le fait que l'amélioration des conditions de travail implique ou non la lutte contre les inégalités entre les genres.
Au-delà de la présentation des motifs, l'accent mis sur l'effet de la grève féministe est nécessaire. Le chômage des femmes va briser le tabou: Sans l'activité de travail, dans un sens classique, et sans l'effort des femmes, le système ne progresse pas. Les femmes sont le sel de la terre.
« Le Sel de la Terre » (1954), fut le titre que Herbert J. Biberman donna à son film sur la tenue, par les femmes du village, d'une grève des travailleurs des mines du Nouveau-Mexique, ce pour profiter stratégiquement d'un vide légal. La chose la plus remarquable dans le complot sont les effets de la grève des femmes à la fois pour la situation de travail des travailleurs et pour l'égalité des sexes.
C'est ainsi que Biberman a présenté une nouvelle façon de comprendre le cinéma comme un moyen de mener des luttes constantes qui doivent être commencées et maintenues. Le contenu réaliste donnait la prééminence aux femmes opprimées dans la réalité et au cinéma. La distribution était composée de travailleurs. Le film a été développé avec la participation à la prise de décision par l'ensemble de l'équipe. Tant le tournage, la diffusion du film, a survécu à l'emprisonnement de membres de l'équipe en pleine chasse aux sorcières sénateur McCarthy et le boycott de sa projection dans les salles.
C'est ainsi que "Le Sel de la Terre" est un appel à l'action et à la résistance. C'est aussi un appel à la réflexion. C'est celle-ci que mettrons en évidence le 8 mars prochain sur Cine Periferia après une journée de mobilisation productive.
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20:00 – 23:00 |
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par Carrefour-des-Arts le 8 mars 2018