La décadanse

Voix de Fête | Juliette Armanet et Soraya Ksontini

Casino-Théâtre

  • Rue de Carouge 42 - Genève
Concert au Casino Théâtre,
dans le cadre du Festival Voix de Fête

JULIETTE ARMANET
Une voix stratosphérique, un piano aérien, des textes ciselés… Voilà l’équation simple et rare de Juliette Armanet qui s’impose aujourd’hui comme la “Petite Amie” la plus trendy de la chanson française. Son album sorti en 2017 fait des émules, et ses concerts attirent un public grandissant. Accompagnée de son piano, éternel partenaire de crime et de danse, Juliette Armanet cisèle ses mélodies charnelles et sensibles avec sa voix si particulière. Elle emporte son public au gré de ses douces folies sentimentales. Mais la prouesse réelle, c’est ce mélange si subtil d’humour et de nostalgie. Car pour Juliette Armanet, la nostalgie est une émotion addictive, et on la retrouve en assaisonnement doux-amer dans de nombreux titres. On dit d’elle, non sans raison, qu’elle fait revivre l’âge d’or de la chanson française. Marchant sur les traces des Berger, Gall, Sanson et consorts, elle s’est créé une aura originale, Juliette Armanet s’est dessiné un spectacle qui joue sur un kitsch boule à facettes assumé et une présence scénique envoûtante.

SORAYA KSONTINI
Artiste suisse d’origine tunisienne, Soraya Ksontini possède une aura qui ne laisse personne indifférent. Depuis la parution de son premier EP en 2012, la musicienne a su séduire public et professionnels de la musique grâce à son style particulier mêlant chanson, influences nord-africaines et pop anglophone. Après 5 ans passés à affûter ses armes sur les scènes de Suisse, France, Belgique et Tunisie, c’est avec fierté qu’elle nous présente aujourd’hui son second EP, « Monsieur ». Un projet pour lequel elle s’est bien entourée, faisant appel aux services du batteur et arrangeur suisse Christophe Calpini, qui a notamment travaillé avec Alain Bashung, Erik Truffaz et Pascal Auberson. Voix de velours, la chanteuse y fait voler ses textes, petits bijoux écrits en français et en arabe, sur des mélodies hypnotiques relevées d’une pointe d’électro. Un EP sensible, à l’image de l’artiste si touchante qu’est Soraya Ksontini, et dont le titre, révélateur de ses convictions féministes, rend joliment hommage aux hommes qui ont traversé sa vie, les érigeant en muses.
20:00 – 23:00
Portes: 1h avant le concert
de 26.- à 38.-
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Signaler une erreur Ajouté par Chat Noir le 18 janvier 2018