SÉANCE PSYCHOTRONIQUE - KING KONG LIVES (KING KONG 2) - JOHN GUILLERMIN
Spoutnik
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ÉTATS-UNIS, 1986, 105’, COUL., VIDÉO, VO ANGLAIS ST FRANÇAIS.
Avec: Brian Kerwin, Linda Hamilton, John Ashton
Dix ans après sa méchante chute du World Trade Center, King Kong n’est pas mort. Plongé dans un état comateux, il survit dans un institut d’Atlanta. Parce que son organisme commence à montrer des signes de défaillance, les médecins lui construisent un cœur artificiel. Mais la transplantation ne peut réussir qu’avec le sang d’un autre membre de son espèce. Par chance, un aventurier a capturé à Bornéo une femelle gorille baptisée Lady Kong. L’opération réussit au-delà de toutes les espérances. King Kong revit. Il brise ses chaînes et s’enfuit avec sa nouvelle dulcinée…
La petite histoire veut que le remake de KING KONG de 1976, déjà réalisé par John Guillermin et produit par Dino de Laurentiis, ait fait un carton d’audience lors de sa diffusion télévisée dans les années 80. Le célèbre producteur italien, qui n’en était pas à une mauvaise idée près, décide alors de surfer sur la hype et de lui donner une suite. Malgré la présence de Guillermin aux commandes – ce sera son dernier film – le film est un plantage en bonne et due forme. On notera la présence au générique de Linda Hamilton, révélée deux ans plus tôt dans le rôle de Sarah Connor dans TERMINATOR. Et l’apparition très attendue d’une Lady Kong, grâce à laquelle il n’y a plus de jalousie: les filles aussi peuvent être Kong.
Avec: Brian Kerwin, Linda Hamilton, John Ashton
Dix ans après sa méchante chute du World Trade Center, King Kong n’est pas mort. Plongé dans un état comateux, il survit dans un institut d’Atlanta. Parce que son organisme commence à montrer des signes de défaillance, les médecins lui construisent un cœur artificiel. Mais la transplantation ne peut réussir qu’avec le sang d’un autre membre de son espèce. Par chance, un aventurier a capturé à Bornéo une femelle gorille baptisée Lady Kong. L’opération réussit au-delà de toutes les espérances. King Kong revit. Il brise ses chaînes et s’enfuit avec sa nouvelle dulcinée…
La petite histoire veut que le remake de KING KONG de 1976, déjà réalisé par John Guillermin et produit par Dino de Laurentiis, ait fait un carton d’audience lors de sa diffusion télévisée dans les années 80. Le célèbre producteur italien, qui n’en était pas à une mauvaise idée près, décide alors de surfer sur la hype et de lui donner une suite. Malgré la présence de Guillermin aux commandes – ce sera son dernier film – le film est un plantage en bonne et due forme. On notera la présence au générique de Linda Hamilton, révélée deux ans plus tôt dans le rôle de Sarah Connor dans TERMINATOR. Et l’apparition très attendue d’une Lady Kong, grâce à laquelle il n’y a plus de jalousie: les filles aussi peuvent être Kong.
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par Cinéma Spoutnik le 24 avril 2017