Finissage Baies vitrées - La promesse de l'écran et bal
Villa Bernasconi
- 8, route du Grand-Lancy - Lancy - Genève
-
Voir sur le plan
- www.villabernasconi.ch
07.04 – 07.05.2017
Baies vitrées
Avec Cécile Bart et Pierre Leguillon, Giulia Bowinkel & Friedemann Banz, Romain et Simon de Diesbach, Lucien Monot et une performance d'Alexis Etienne
Comment inviter le cinéma dans un centre d’art ?
Allumons la lumière et regardons l’écran, ce qu’il garde en lui de l’image projetée, ce qu’il produit à lui seul comme images et comme mouvements. À travers les peintures-écrans de Cécile Bart et le Musée des Erreurs de Pierre Leguillon en conversation sur un étage de la villa, à travers les recherches photographiques de Giulia Bowinkel & Friedemann Banz, les interrogations plastiques des frères de Diesbach, les destructurations cinématographiques de Lucien Monot, par l’usage de l’image dans les performances d’Alexis Étienne, la peinture, la photographie, la sculpture et la littérature exposent leur cinéma.
Finissage dimanche 7 mai, "La Promesse de l’écran" présente : « la musique sur l’image ». Une promesse de Sylvie Eyberg et Olivia Degrez à Pierre Leguillon, suivie d’un bal.
"La Promesse de l’écran" est un dispositif de projection escamotable proposé par Pierre Leguillon depuis 2007. Les séances sont consacrées à des aspects périphériques au cinéma : générique, affiche, motif récurrent, etc. ou bien proposent de regarder en direction de l’écran depuis un autre médium: poésie, peinture, danse, dessin…
« Quand j’ai demandé à Pierre Leguillon si il existait une Promesse de l’écran dédiée à la comédie musicale, sa réponse a pris la forme d’une invitation : il m’a fait promettre de la réaliser moi-même. Lorsque quelqu’un ouvre ainsi sa maison, elle devient le lieu d’une rencontre, un espace public. La comédie musicale n’est pas un genre apprécié de tous, mais elle court la rue. Le scénario n’y a souvent qu’une valeur prétexte, l’image étant construite pour les moments musicaux. Le mouvement de a caméra, celui des danseurs et le rythme de leurs pas nous font alors traverser l’épaisseur du décor, de l’espace de la rue à celui des coulisses. » Sylvie Eyberg
Projection à 18 h suivie d'un bal pour le finissage de l'exposition Baies vitrées. En présence des réalisatrices.
L'exposition Baies vitrées est ouverte à cette occasion.
Dans le cadre de la Fête de la danse
www.dastanzfest.ch
Baies vitrées
Avec Cécile Bart et Pierre Leguillon, Giulia Bowinkel & Friedemann Banz, Romain et Simon de Diesbach, Lucien Monot et une performance d'Alexis Etienne
Comment inviter le cinéma dans un centre d’art ?
Allumons la lumière et regardons l’écran, ce qu’il garde en lui de l’image projetée, ce qu’il produit à lui seul comme images et comme mouvements. À travers les peintures-écrans de Cécile Bart et le Musée des Erreurs de Pierre Leguillon en conversation sur un étage de la villa, à travers les recherches photographiques de Giulia Bowinkel & Friedemann Banz, les interrogations plastiques des frères de Diesbach, les destructurations cinématographiques de Lucien Monot, par l’usage de l’image dans les performances d’Alexis Étienne, la peinture, la photographie, la sculpture et la littérature exposent leur cinéma.
Finissage dimanche 7 mai, "La Promesse de l’écran" présente : « la musique sur l’image ». Une promesse de Sylvie Eyberg et Olivia Degrez à Pierre Leguillon, suivie d’un bal.
"La Promesse de l’écran" est un dispositif de projection escamotable proposé par Pierre Leguillon depuis 2007. Les séances sont consacrées à des aspects périphériques au cinéma : générique, affiche, motif récurrent, etc. ou bien proposent de regarder en direction de l’écran depuis un autre médium: poésie, peinture, danse, dessin…
« Quand j’ai demandé à Pierre Leguillon si il existait une Promesse de l’écran dédiée à la comédie musicale, sa réponse a pris la forme d’une invitation : il m’a fait promettre de la réaliser moi-même. Lorsque quelqu’un ouvre ainsi sa maison, elle devient le lieu d’une rencontre, un espace public. La comédie musicale n’est pas un genre apprécié de tous, mais elle court la rue. Le scénario n’y a souvent qu’une valeur prétexte, l’image étant construite pour les moments musicaux. Le mouvement de a caméra, celui des danseurs et le rythme de leurs pas nous font alors traverser l’épaisseur du décor, de l’espace de la rue à celui des coulisses. » Sylvie Eyberg
Projection à 18 h suivie d'un bal pour le finissage de l'exposition Baies vitrées. En présence des réalisatrices.
L'exposition Baies vitrées est ouverte à cette occasion.
Dans le cadre de la Fête de la danse
www.dastanzfest.ch
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14:00 – 21:00 |
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| entrée libre | |
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par Villa Bernasconi le 4 avril 2017