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Mouna Ikhlassy a quitté la Syrie en 2012 et a choisi de vivre et travailler à Bruxelles. Chroniques d'Alep réunit des estampes inspirées par la cartographie de sa ville natale. L'artiste part d'un plan d'Alep dont elle garde le tracé, mais en examinant de très près, le trait est une calligraphie. Des fragments de poèmes arabes, des noms de disparus constituent le marquage des rues et le contour des quartiers. Dans ce travail de gravures, une des métaphores les plus anciennes de la mémoire, l’artiste donne à voir l’éclatement de l’espace et la brisure du temps dans les décombres de l’espace. Elle fait, défait et refait inlassablement l’histoire de la ville et la sienne propre.

Présenté dans le cadre du Festival International du Film et Forum sur les Droits Humains.

• http://www.fifdh.org/site/fr/a
  ccueil

	17:00
	entrée libre

Signaler une erreur Ajouté le 22 février 2017