FORUM Syrie, pièces à conviction
Salle communale de Plainpalais
Théâtre Pitoëff
- 52, rue de Carouge - Plainpalais - Genève
-
Voir sur le plan
- https://bit.ly/2YqHq72
Co-présenté avec Amnesty International (AI) Suisse et le Département fédéral des affaires étrangères (DFAE)
Syrias’s Disappeared, The Case Against Assad de Sara Afshar donne la parole à des survivants des tortures orchestrées par la sécurité syrienne dans les prisons du régime. Déterminés à trainer les responsables syriens en justice, un ancien procureur et un enquêteur construisent un acte d’accusation accablant et irréfutable.
DEBAT
Introductions
Heidi Grau | Ambassadeur, Cheffe de la Division Sécurité humaine du DFAE
Manon Schick | directrice d’Amnesty International Suisse
Intervenant.es
Mazen Al Hamada | Activiste syrien, survivant de la torture
Almudena Bernabeu | Avocate, auteure et directrice du programme de justice transitionnelle au Center for Justice and Accountability
Stephen Rapp | Ancien procureur au Tribunal pénal international pour le Rwanda et Distinguished Fellow à l’Institut pour la justice globale de La Haye
Wiley William | Fondateur et directeur du Committee for International Justice and Accountability
Modération par
Charles Glass | Journaliste et écrivain, auteur de "Syria Burning, A Short History of A Catastrophe"
FILM
Syria's Disappeared: the Case against Assad
Sara Afshar, Royaume-Uni, 2017, 50', vo ang/arabe, st ang/fr
Première mondiale
--------------
Il y a les centaines de milliers de morts et les millions de réfugiés. Il y a aussi celles et ceux que le régime de Bachar Al-Assad arrête, assassine et torture dans ses prisons. Il existe des preuves.
Selon les estimations, plus de 50'000 hommes, femmes et enfants sont morts dans ces conditions depuis le début de la guerre en 2011. Près de 150'000 autres personnes sont portées disparues. Dans sa répression meurtrière, le régime note, consigne, tient minutieusement la comptabilité macabre de ses exactions. Au péril de leur vie, des opposants syriens parviennent à mettre la main sur ces pièces à conviction et les font sortir clandestinement du pays, afin qu’elles soient conservées en sécurité en Europe. Demain, dans dix ou dans trente ans, quand les responsables de ces crimes seront devant leurs juges, ce seront les procureurs qui seront armés de ces preuves irréfutables.
Présenté dans le cadre du Festival International du Film et Forum sur les Droits Humains.
Syrias’s Disappeared, The Case Against Assad de Sara Afshar donne la parole à des survivants des tortures orchestrées par la sécurité syrienne dans les prisons du régime. Déterminés à trainer les responsables syriens en justice, un ancien procureur et un enquêteur construisent un acte d’accusation accablant et irréfutable.
DEBAT
Introductions
Heidi Grau | Ambassadeur, Cheffe de la Division Sécurité humaine du DFAE
Manon Schick | directrice d’Amnesty International Suisse
Intervenant.es
Mazen Al Hamada | Activiste syrien, survivant de la torture
Almudena Bernabeu | Avocate, auteure et directrice du programme de justice transitionnelle au Center for Justice and Accountability
Stephen Rapp | Ancien procureur au Tribunal pénal international pour le Rwanda et Distinguished Fellow à l’Institut pour la justice globale de La Haye
Wiley William | Fondateur et directeur du Committee for International Justice and Accountability
Modération par
Charles Glass | Journaliste et écrivain, auteur de "Syria Burning, A Short History of A Catastrophe"
FILM
Syria's Disappeared: the Case against Assad
Sara Afshar, Royaume-Uni, 2017, 50', vo ang/arabe, st ang/fr
Première mondiale
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Il y a les centaines de milliers de morts et les millions de réfugiés. Il y a aussi celles et ceux que le régime de Bachar Al-Assad arrête, assassine et torture dans ses prisons. Il existe des preuves.
Selon les estimations, plus de 50'000 hommes, femmes et enfants sont morts dans ces conditions depuis le début de la guerre en 2011. Près de 150'000 autres personnes sont portées disparues. Dans sa répression meurtrière, le régime note, consigne, tient minutieusement la comptabilité macabre de ses exactions. Au péril de leur vie, des opposants syriens parviennent à mettre la main sur ces pièces à conviction et les font sortir clandestinement du pays, afin qu’elles soient conservées en sécurité en Europe. Demain, dans dix ou dans trente ans, quand les responsables de ces crimes seront devant leurs juges, ce seront les procureurs qui seront armés de ces preuves irréfutables.
Présenté dans le cadre du Festival International du Film et Forum sur les Droits Humains.
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20:30 – 22:00 |
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| 8 - 15 | |
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Ajouté
le 22 février 2017