Pamplemousse live / garage-rock
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Pamplemousse débarque de l’Ile de la Réunion en 2017 avec un premier album éponyme sorti sur le label A Tant Rêver du Roi (Pau). Une base garage noise teintée de blues abrasif qui dénote avec la carte de postale de l’Océan Indien. Enregistré par ses soins, visuels fait maison dans une logique purement DIY, l’album est plébiscité dans les médias nationaux (Rolling Stone, New Noise, Mowno, Le Drone, Abus Dangereux..) et internationaux (Maximum R’n’R). Les comparaisons élogieuses fusent avec des maîtres du genre de la scène 90s et on évoque aussi bien Shellac, Fugazi, Girls vs Boys ou Chokebore que les labels Amphetamine Reptile ou Touch ‘n’ Go pour parler du power trio réunionnais.
L’urgence de la musique de Pamplemousse s’apprécie également en live, un son massif qui s’affranchit des styles noise, garage, punk, grunge ou même stoner. Pour son premier concert en métropole, le groupe ouvre pour Unsane (NYC) à Paris et s’en suivent deux tournées en France et Espagne où ils partagent la scène la crème de
l’underground (LANE, It It Anita, Lysistrata, Make-Overs...).
Pour la sortie de son deuxième album “High Strung” le 19 avril 2019 toujours chez A Tant Rêver du Roi, Pamplemousse ne s’est toujours pas mis ni au Séga ni au Maloya. Le groupe est parti enregistrer en analogique au Studio Black Box à Angers avec Peter Deimel (Chokebore, Shellac, Cows..) avec un résultat dantesque. Le long des 10 titres de l’album, Pamplemousse continuer de façonner son style: nerveux, sauvage avec des petites bombes noise punk comme “High Strung”, “Losing Control” ou “Ventoline”. Les guitares se font encore plus noisy comme sur le colossal “Porcelain” qui peut rappeler Sonic Youth ou Metz. Même quand le groupe ralentit un peu le tempo (“Back in L.A”), la tension est palpable et l'éruption toujours proche...
Pamplemousse débarque de l’Ile de la Réunion en 2017 avec un premier album éponyme sorti sur le label A Tant Rêver du Roi (Pau). Une base garage noise teintée de blues abrasif qui dénote avec la carte de postale de l’Océan Indien. Enregistré par ses soins, visuels fait maison dans une logique purement DIY, l’album est plébiscité dans les médias nationaux (Rolling Stone, New Noise, Mowno, Le Drone, Abus Dangereux..) et internationaux (Maximum R’n’R). Les comparaisons élogieuses fusent avec des maîtres du genre de la scène 90s et on évoque aussi bien Shellac, Fugazi, Girls vs Boys ou Chokebore que les labels Amphetamine Reptile ou Touch ‘n’ Go pour parler du power trio réunionnais.
L’urgence de la musique de Pamplemousse s’apprécie également en live, un son massif qui s’affranchit des styles noise, garage, punk, grunge ou même stoner. Pour son premier concert en métropole, le groupe ouvre pour Unsane (NYC) à Paris et s’en suivent deux tournées en France et Espagne où ils partagent la scène la crème de
l’underground (LANE, It It Anita, Lysistrata, Make-Overs...).
Pour la sortie de son deuxième album “High Strung” le 19 avril 2019 toujours chez A Tant Rêver du Roi, Pamplemousse ne s’est toujours pas mis ni au Séga ni au Maloya. Le groupe est parti enregistrer en analogique au Studio Black Box à Angers avec Peter Deimel (Chokebore, Shellac, Cows..) avec un résultat dantesque. Le long des 10 titres de l’album, Pamplemousse continuer de façonner son style: nerveux, sauvage avec des petites bombes noise punk comme “High Strung”, “Losing Control” ou “Ventoline”. Les guitares se font encore plus noisy comme sur le colossal “Porcelain” qui peut rappeler Sonic Youth ou Metz. Même quand le groupe ralentit un peu le tempo (“Back in L.A”), la tension est palpable et l'éruption toujours proche...
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22:30 |
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Ajouté
par michel le 15 janvier 2020