Le combat ordinaire
Théâtre du Loup
- 10, ch. de la Gravière - Les Acacias - Genève
-
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- www.theatreduloup.ch
C’est l’histoire d’un photographe fatigué, d’une fille patiente, d’horreurs banales et d’un chat pénible.
C’est l’histoire d’un photographe convalescent, d’un génie médiocre, d’un cargo qui sombre et du cheval de Zorro.
Marco est un photographe qui a perdu l’envie de faire « des clichés de cadavres exotiques » pour se consacrer à des dockers, amis de son père atteint d’Alzheimer. Il fuit ses angoisses dans une petite maison en campagne avec pour seule compagnie un chat acariâtre. Une solitude vite comblée par sa rencontre avec un vieux pêcheur philosophe et Emilie, jolie vétérinaire qui peu à peu lui réclame un peu plus de place dans sa vie... Commence alors pour Marco une période de reconstruction.
Sur cette simple trame, Manu Larcenet encre l’une des plus belles pages de la bande dessinée des dix dernières années, une réflexion unique sur le passage à l’âge adulte, l’acceptation de soi et notre rapport au monde, sacrée meilleur album en 2004 au festival d’Angoulême. Il y décrit les crises privées et publiques vécues au quotidien, mais pour nous parler de réconciliation. Cette réconciliation avec nous-mêmes et avec la société occidentale que l’on a tous perdue de vue, préoccupés par les soucis. Et ce goût retrouvé passe par le dialogue avec l’autre, même celui que l’on déteste. Tout cela avec l’efficacité, la légèreté, la couleur et le ludisme de la bande dessinée.
C’est la gageure de ce spectacle : nous faire croire, nous faire rire, nous émouvoir, nous réconcilier avec une vie ordinaire qui se révèle sous les feux de la rampe un parcours extraordinaire et universel.
C’est l’histoire d’un photographe convalescent, d’un génie médiocre, d’un cargo qui sombre et du cheval de Zorro.
Marco est un photographe qui a perdu l’envie de faire « des clichés de cadavres exotiques » pour se consacrer à des dockers, amis de son père atteint d’Alzheimer. Il fuit ses angoisses dans une petite maison en campagne avec pour seule compagnie un chat acariâtre. Une solitude vite comblée par sa rencontre avec un vieux pêcheur philosophe et Emilie, jolie vétérinaire qui peu à peu lui réclame un peu plus de place dans sa vie... Commence alors pour Marco une période de reconstruction.
Sur cette simple trame, Manu Larcenet encre l’une des plus belles pages de la bande dessinée des dix dernières années, une réflexion unique sur le passage à l’âge adulte, l’acceptation de soi et notre rapport au monde, sacrée meilleur album en 2004 au festival d’Angoulême. Il y décrit les crises privées et publiques vécues au quotidien, mais pour nous parler de réconciliation. Cette réconciliation avec nous-mêmes et avec la société occidentale que l’on a tous perdue de vue, préoccupés par les soucis. Et ce goût retrouvé passe par le dialogue avec l’autre, même celui que l’on déteste. Tout cela avec l’efficacité, la légèreté, la couleur et le ludisme de la bande dessinée.
C’est la gageure de ce spectacle : nous faire croire, nous faire rire, nous émouvoir, nous réconcilier avec une vie ordinaire qui se révèle sous les feux de la rampe un parcours extraordinaire et universel.
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19:00 – 20:30 |
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| Plein tarif 24.- Membre du Théâtre du Loup, AVS, AI, chômeurs 16.- Enfants / étudiants 12.- 20ans | |
| billetterie@theatreduloup.ch |
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par theatreduloup le 10 février 2014