LA JAULA DE ORO
Cinélux
- 8, bd Saint-Georges (Jonction) - Genève
-
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'''Prix d’interprétation Un Certain Regard au Festival de Cannes 2013'''
Tandis que d'un côté, les '''Etats-Unis '''investissent le territoire mexicain avec ses maquilladoras (usine de production d'entreprises américaines au Mexique), la population mexicaine de l'autre cherche '''à tout prix''' à franchir la frontière dans l''''espoir d'une vie meilleure'''.
Cette envie de réussir, ce désir de vivre une vie meilleure aux Etats-Unis, c'est le '''Rêve d'Or''' auquel aspirent Juan, Sara et Samuel, tous trois originaires '''du Guatemala'''.
'''Quemada-Diez''', comme d'autres cinéastes avant lui, n'invente rien en faisant le récit de pauvres gens désireux d'aller voir ailleurs pour s'en sortir. '''Mais le cinéaste ne cherche pas pour autant à nous tirer les larmes, bien au contraire. Si sa caméra suit de près les adolescents, c'est d'avantage pour rendre compte des rites de passage et d'apprentissages que représentent les principales étapes du voyage pour des jeunes de leur âge, plutôt que de les enfermer dans un environnement miséreux.''' La misère est là, mais elle n'est pas le sujet du film.
Et les dernières minutes, stupéfiantes de noirceur, sans pathos aucun, rappellent la distance tenue tout au long du film : '''la vie est comme ça, dure et cruelle.'''
Tandis que d'un côté, les '''Etats-Unis '''investissent le territoire mexicain avec ses maquilladoras (usine de production d'entreprises américaines au Mexique), la population mexicaine de l'autre cherche '''à tout prix''' à franchir la frontière dans l''''espoir d'une vie meilleure'''.
Cette envie de réussir, ce désir de vivre une vie meilleure aux Etats-Unis, c'est le '''Rêve d'Or''' auquel aspirent Juan, Sara et Samuel, tous trois originaires '''du Guatemala'''.
'''Quemada-Diez''', comme d'autres cinéastes avant lui, n'invente rien en faisant le récit de pauvres gens désireux d'aller voir ailleurs pour s'en sortir. '''Mais le cinéaste ne cherche pas pour autant à nous tirer les larmes, bien au contraire. Si sa caméra suit de près les adolescents, c'est d'avantage pour rendre compte des rites de passage et d'apprentissages que représentent les principales étapes du voyage pour des jeunes de leur âge, plutôt que de les enfermer dans un environnement miséreux.''' La misère est là, mais elle n'est pas le sujet du film.
Et les dernières minutes, stupéfiantes de noirceur, sans pathos aucun, rappellent la distance tenue tout au long du film : '''la vie est comme ça, dure et cruelle.'''
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17:15 V.O. esp., st fr./all. |
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| Tarif 16.-, étudiants 12.-, carte20ans20francs 5.-, les lundis 12.- pour tous ! | |
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Ajouté
par Cinélux le 23 décembre 2013