Delphine Depres accompagnée de l'INSUB~5tet - L’hypothèse de la continuité
Espace Kugler
- 19, avenue de la Jonction (Jonction) - Genève
-
Voir sur le plan
- http://www.espacekugler.net/
Espace kugler est heureux d’accueillir Delphine Depres pour deux semaines de résidence et vous invite :
Le vendredi 22 mars à 21h00 : Soirée d'ouverture de résidence avec un set vidéo de Delphine Depres accompagnée de l'INSUB~5tet.
antoine läng (voix), cyril bondi (perc), d'incise (laptop), raphael ortis (basse), rodolphe loubatière (perc)
Le samedi 6 avril à 20h30 : Présentation du travail de résidence, installation et performance audiovisuelle.
L’hypothèse de la continuité.
Penchée sur sa table de travail, Delphine Depres manipule avec une précision alchimiste, perles, poussières, et autres matériaux infimes. Passés au filtre de la caméra, les éléments s'organisent pour construire une image retransmise simultanément par le biais de la projection.
Absorbé dans cette attention microscopique, le regard du spectateur passe des gestes précis de l’artiste à l’écran. C’est dans ce mouvement furtif des yeux que se loge tout le travail de Delphine Depres, qui met en jeu aussi bien la construction de l’image que la construction d’une image du monde dans ce qu’il a de plus irreprésentable: l’infiniment grand comme l’infiniment petit.
Pour sa résidence à l’espace kugler, Delphine Depres cherche du côté de la physique pour questionner le vide, la propagation de la lumière et du son dans un champ donné. Durant deux semaines, elle va mettre en place un dispositif au sein de l’espace kugler qui sera présenté au public lors d’une performance audiovisuelle le samedi 6 avril à 20h30.
www.delphinedepres.net
Le vendredi 22 mars à 21h00 : Soirée d'ouverture de résidence avec un set vidéo de Delphine Depres accompagnée de l'INSUB~5tet.
antoine läng (voix), cyril bondi (perc), d'incise (laptop), raphael ortis (basse), rodolphe loubatière (perc)
Le samedi 6 avril à 20h30 : Présentation du travail de résidence, installation et performance audiovisuelle.
L’hypothèse de la continuité.
Penchée sur sa table de travail, Delphine Depres manipule avec une précision alchimiste, perles, poussières, et autres matériaux infimes. Passés au filtre de la caméra, les éléments s'organisent pour construire une image retransmise simultanément par le biais de la projection.
Absorbé dans cette attention microscopique, le regard du spectateur passe des gestes précis de l’artiste à l’écran. C’est dans ce mouvement furtif des yeux que se loge tout le travail de Delphine Depres, qui met en jeu aussi bien la construction de l’image que la construction d’une image du monde dans ce qu’il a de plus irreprésentable: l’infiniment grand comme l’infiniment petit.
Pour sa résidence à l’espace kugler, Delphine Depres cherche du côté de la physique pour questionner le vide, la propagation de la lumière et du son dans un champ donné. Durant deux semaines, elle va mettre en place un dispositif au sein de l’espace kugler qui sera présenté au public lors d’une performance audiovisuelle le samedi 6 avril à 20h30.
www.delphinedepres.net
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par Youthman le 20 mars 2013