Marie Stuart ou le combat des Reines d'après Dacia Maraini
Galpon
- 2, route des Péniches (Jonction) - Genève
-
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- www.galpon.ch
Création pluridisciplinaire du Studio d'Action Théâtrale
Au Théâtre du Galpon du 8 au 27 novembre 2011
Direction artistique et scénographie: '''Gabriel Alvarez''' - Jeu: '''Amina Amici, Clara Brancorsini''' - Musique: '''Bruno De Franceschi'''
« Mary Stuart » de Dacia Maraini est traduit par la poétesse et romancière Marie José Thériault qui, grâce à une langue à la fois sensuelle et acerbe, donne toute l’envergure aux personnages de la pièce.
« Marie Stuart » est une réécriture radicale et moderne de la pièce de Schiller. Il s’agit de deux femmes que l'Histoire a transformé en monstre. Pendant dix-neuf ans, Élisabeth d’Angleterre a gardé Marie Stuart, reine d'Écosse, prisonnière au château de Fotherighay. Elles seront obsédées l'une par l'autre jusqu'à devenir le miroir l'une de l'autre. Dans la pièce de Dacia Maraini, les deux souveraines et leurs suivantes dessinent, scène après scène, toutes les figures de la mémoire, du pouvoir, de la séduction, de la cruauté, du désir et de l'anéantissement.
Deux femmes, deux reines, deux servantes pour recréer un voyage dans l’univers féminin. Deux femmes liées par le sang, par les sentiments, les complots et la raison d’Etat, la prison et la mort.
La proposition artistique la plus radicale de l'auteur est sans doute son désir de voir jouer les reines et leur suivante par deux comédiennes, chaque souveraine devenant ainsi tour à tour la servante de l'autre.
Au Théâtre du Galpon du 8 au 27 novembre 2011
Direction artistique et scénographie: '''Gabriel Alvarez''' - Jeu: '''Amina Amici, Clara Brancorsini''' - Musique: '''Bruno De Franceschi'''
« Mary Stuart » de Dacia Maraini est traduit par la poétesse et romancière Marie José Thériault qui, grâce à une langue à la fois sensuelle et acerbe, donne toute l’envergure aux personnages de la pièce.
« Marie Stuart » est une réécriture radicale et moderne de la pièce de Schiller. Il s’agit de deux femmes que l'Histoire a transformé en monstre. Pendant dix-neuf ans, Élisabeth d’Angleterre a gardé Marie Stuart, reine d'Écosse, prisonnière au château de Fotherighay. Elles seront obsédées l'une par l'autre jusqu'à devenir le miroir l'une de l'autre. Dans la pièce de Dacia Maraini, les deux souveraines et leurs suivantes dessinent, scène après scène, toutes les figures de la mémoire, du pouvoir, de la séduction, de la cruauté, du désir et de l'anéantissement.
Deux femmes, deux reines, deux servantes pour recréer un voyage dans l’univers féminin. Deux femmes liées par le sang, par les sentiments, les complots et la raison d’Etat, la prison et la mort.
La proposition artistique la plus radicale de l'auteur est sans doute son désir de voir jouer les reines et leur suivante par deux comédiennes, chaque souveraine devenant ainsi tour à tour la servante de l'autre.
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20:00 – 22:00 |
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| PT 20F | TR 15F et 10F | 20 ans/20francs 8F | |
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Ajouté
par galpon le 5 novembre 2011